Tout le monde connaît ou a connu une "Thérèse" dans ses relations de travail. Ce chapitre a été, pour moi, l'occasion de parler de la paresse, car, à première vue, Thérèse est paresseuse. Elle l'est un peu quelque part, mais c'est surtout une manipulatrice. Que constatons-nous dans nos milieux de travail ? Moins on abat de travail, plus on prouve son incompétence, mieux on est considéré et plus on est susceptible de gravir les échelons. C'est déprimant n'est-ce pas ? Et pourtant, c'est tout à fait logique. C'est ce que je démontre dans le chapitre concerné. Cela n'est pourtant logique, que dans ce qu'est devenu notre système, un système basé sur l'individualisme, sur l'égocentrisme. La conscience du groupe n'y existe pas, l'envie de construire, de réussir ensemble non plus. Chacun regarde au bout de son nez ou contemple son nombril, sans chercher à comprendre que la communauté poursuit, à terme, une logique destructrice dont chacun reportera la faute sur l'autre. Seuls une minorité en tire bénéfice, un bénéfice pécunier immédiat, gonfflant un ego qui ne demande que cela. Pourtant ce bénéfice n'en est pas un, car il est acquis grâce à un accord tacite d'emprisonnement.
Rappelez-vous, chers lecteurs, que la plus grande liberté s'acquiert en restant soi-même.