Vous trouverez sur ce blog, beaucoup d'articles et de vidéos d'actualité. Les points de vue présentés dans ces articles et vidéos ne sont pas forcément les miens, mais ils peuvent amener une réflexion. Chacun se fera une opinion avec autre chose que le discours formaté des politiques et des médias.Vous y trouverez aussi les réponses aux questions qui me sont posées concernant mes livres. Les thèmes de mes ouvrages sont le développement personnel et la spiritualité.
lundi 28 février 2011
mercredi 23 février 2011
Inception - notre vie est un rêve ?
Le film Inception nous montrent les rêves comme, après tout, ce qu'ils sont, c'est à dire d'autres réalités. La notion de réalité est subjective. Chacun de nous porte un regard particulier sur ce qui l'entoure. A l'instant où nous nous endormons, nous croyons entrer dans une fiction créée par notre cerveau. Mais, après tout, où est la fiction ? Au moment où nous nous incarnons pour nous diriger vers l'éveil, beaucoup d'entre nous s'endorment profondément, bercés par les images et les sons, nourris de la certitude d'être ce corps, pétris de l'orgueil de figurer au plus haut de la pyramide du vivant, totalement persuadés que notre vie nous appartient et que nous en sommes maîtres. Quelle arrogance ! Il nous faudra travailler durement sur nous-mêmes pour cligner des yeux parfois !
mardi 22 février 2011
Des diplomates français s'en prennent à la politique de l'Elysée Par Reuters -
Des diplomates français s'en prennent à la politique de l'Elysée Par Reuters -
PARIS - Des diplomates français rompent le silence et confirment dans une tribune publiée mardi par Le Monde un profond malaise de la diplomatie française, plus étendu encore que ce que le "printemps arabe" en a révélé.
Sous le pseudonyme collectif de Marly, ces diplomates de diverses origines, générations et sensibilités politiques, en activité ou à la retraite, s'en prennent directement à la politique du président Nicolas Sarkozy.
Tout y passe : l'impuissance de la France face aux crises africaines et arabes ou à l'émergence de la Chine, l'échec de l'Union pour la Méditerranée, l'indifférence américaine malgré le retour dans le giron de l'Otan, les fiascos à répétition dans la vente des Rafale et de l'industrie nucléaire française à l'exportation, la faiblesse politique de l'Europe, etc.
"Il se passe avec les diplomates ce qui se passe avec d'autres grands corps de l'Etat, une exaspération croissante en raison de la façon dont le président traite ses serviteurs", a expliqué un de ces diplomates à Reuters.
"Ça grondait depuis quelque temps", au Quai d'Orsay, a-t-il souligné. Mais ce qui a conduit le groupe "Marly" à publier ce premier texte, c'est une "manipulation" à laquelle la présidence de la République s'est, selon lui, livrée sur la Tunisie.
Les membres du groupe accusent l'Elysée de n'avoir fait "fuiter" que la partie d'un télégramme dans laquelle l'ancien ambassadeur de France en Tunisie, Pierre Ménat, estimait que le président tunisien Zine ben Ali semblait avoir repris la main, quelques heures avant sa fuite le 14 janvier.
ALLIOT-MARIE ÉPARGNÉE
Ils estiment que l'Elysée, faute d'avoir vu venir la chute de Zine ben Ali, a ainsi cherché à se dédouaner.
Or le télégramme, tel qu'il a fuité, a été tronqué de sa dernière partie, dans laquelle Pierre Ménat présentait d'autres scénarios, dont celle d'une fuite précipitée du président tunisien, précise le membre du groupe interrogé par Reuters.
Pierre Ménat a été rappelé à Paris et remplacé par un ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, Boris Boillon, aussitôt contesté par les Tunisiens après une rencontre houleuse avec la presse locale où il a fustigé des questions "débiles".
Le groupe Marly épargne la ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie, au coeur d'une polémique sur ses vacances tunisiennes deux semaines avant la chute de Zine ben Ali.
"La politique suivie à l'égard de la Tunisie ou de l'Egypte a été définie à la présidence de la République sans tenir compte des analyses de nos ambassades", peut-on lire dans sa tribune. "C'est elle (la présidence) qui a choisi MM. Ben Ali et Moubarak comme 'piliers sud' de la Méditerranée."
Mais le groupe Marly, du nom du café du musée du Louvre où il s'est réuni la première fois, ne se limite pas à l'actualité arabe dans sa charge : "L'Europe est impuissante, l'Afrique nous échappe, la Méditerranée nous boude, la Chine nous a domptés et Washington nous ignore", résument ses membres.
AMATEURISME
"La voix de la France a disparu dans le monde. Notre suivisme à l'égard des Etats-Unis déroute beaucoup de nos partenaires", ajoutent-ils - une charge contre la politique atlantiste de Nicolas Sarkozy, qui a rompu avec la tradition gaulliste d'autonomie à l'égard des Etats-Unis.
Ils dénoncent des erreurs "imputables à l'amateurisme, à l'impulsivité et aux préoccupations médiatiques à court terme", comme le fait d'avoir confié au ministère de l'Ecologie la préparation de la conférence de Copenhague sur le climat, qui s'est soldé fin 2009 par un échec cuisant pour l'Europe.
"Notre politique étrangère est placée sous le signe de l'improvisation et d'impulsions successives qui s'expliquent souvent par des considérations de politique intérieure."
Ils imputent les tensions entre Paris et Mexico à la médiatisation du cas Florence Cassez, condamnée par la justice mexicaine à 60 ans de prison pour complicité d'enlèvement.
Ils estiment que la politique française au Moyen-Orient est devenue "illisible" et "s'enferre dans des impasses", et accusent le gouvernement et l'Elysée de négliger l'Afrique francophone
Ils souhaitent que la diplomatie française s'appuie sur les valeurs de solidarité, de démocratie et de respect des cultures "souvent délaissées au profit d'un coup par coup sans vision".
Edité par Yves Clarisse
PARIS - Des diplomates français rompent le silence et confirment dans une tribune publiée mardi par Le Monde un profond malaise de la diplomatie française, plus étendu encore que ce que le "printemps arabe" en a révélé.
Sous le pseudonyme collectif de Marly, ces diplomates de diverses origines, générations et sensibilités politiques, en activité ou à la retraite, s'en prennent directement à la politique du président Nicolas Sarkozy.
Tout y passe : l'impuissance de la France face aux crises africaines et arabes ou à l'émergence de la Chine, l'échec de l'Union pour la Méditerranée, l'indifférence américaine malgré le retour dans le giron de l'Otan, les fiascos à répétition dans la vente des Rafale et de l'industrie nucléaire française à l'exportation, la faiblesse politique de l'Europe, etc.
"Il se passe avec les diplomates ce qui se passe avec d'autres grands corps de l'Etat, une exaspération croissante en raison de la façon dont le président traite ses serviteurs", a expliqué un de ces diplomates à Reuters.
"Ça grondait depuis quelque temps", au Quai d'Orsay, a-t-il souligné. Mais ce qui a conduit le groupe "Marly" à publier ce premier texte, c'est une "manipulation" à laquelle la présidence de la République s'est, selon lui, livrée sur la Tunisie.
Les membres du groupe accusent l'Elysée de n'avoir fait "fuiter" que la partie d'un télégramme dans laquelle l'ancien ambassadeur de France en Tunisie, Pierre Ménat, estimait que le président tunisien Zine ben Ali semblait avoir repris la main, quelques heures avant sa fuite le 14 janvier.
ALLIOT-MARIE ÉPARGNÉE
Ils estiment que l'Elysée, faute d'avoir vu venir la chute de Zine ben Ali, a ainsi cherché à se dédouaner.
Or le télégramme, tel qu'il a fuité, a été tronqué de sa dernière partie, dans laquelle Pierre Ménat présentait d'autres scénarios, dont celle d'une fuite précipitée du président tunisien, précise le membre du groupe interrogé par Reuters.
Pierre Ménat a été rappelé à Paris et remplacé par un ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, Boris Boillon, aussitôt contesté par les Tunisiens après une rencontre houleuse avec la presse locale où il a fustigé des questions "débiles".
Le groupe Marly épargne la ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie, au coeur d'une polémique sur ses vacances tunisiennes deux semaines avant la chute de Zine ben Ali.
"La politique suivie à l'égard de la Tunisie ou de l'Egypte a été définie à la présidence de la République sans tenir compte des analyses de nos ambassades", peut-on lire dans sa tribune. "C'est elle (la présidence) qui a choisi MM. Ben Ali et Moubarak comme 'piliers sud' de la Méditerranée."
Mais le groupe Marly, du nom du café du musée du Louvre où il s'est réuni la première fois, ne se limite pas à l'actualité arabe dans sa charge : "L'Europe est impuissante, l'Afrique nous échappe, la Méditerranée nous boude, la Chine nous a domptés et Washington nous ignore", résument ses membres.
AMATEURISME
"La voix de la France a disparu dans le monde. Notre suivisme à l'égard des Etats-Unis déroute beaucoup de nos partenaires", ajoutent-ils - une charge contre la politique atlantiste de Nicolas Sarkozy, qui a rompu avec la tradition gaulliste d'autonomie à l'égard des Etats-Unis.
Ils dénoncent des erreurs "imputables à l'amateurisme, à l'impulsivité et aux préoccupations médiatiques à court terme", comme le fait d'avoir confié au ministère de l'Ecologie la préparation de la conférence de Copenhague sur le climat, qui s'est soldé fin 2009 par un échec cuisant pour l'Europe.
"Notre politique étrangère est placée sous le signe de l'improvisation et d'impulsions successives qui s'expliquent souvent par des considérations de politique intérieure."
Ils imputent les tensions entre Paris et Mexico à la médiatisation du cas Florence Cassez, condamnée par la justice mexicaine à 60 ans de prison pour complicité d'enlèvement.
Ils estiment que la politique française au Moyen-Orient est devenue "illisible" et "s'enferre dans des impasses", et accusent le gouvernement et l'Elysée de négliger l'Afrique francophone
Ils souhaitent que la diplomatie française s'appuie sur les valeurs de solidarité, de démocratie et de respect des cultures "souvent délaissées au profit d'un coup par coup sans vision".
Edité par Yves Clarisse
samedi 19 février 2011
jeudi 17 février 2011
lundi 14 février 2011
Ce que j'ai subi a fait de moi ce que je suis
Cette réplique du film V pour Vendetta, analysée dans mon livre, vous interpelle chers lecteurs ! Vous êtes quelques uns à me dire, que ce que nous sommes est établi depuis notre naissance. Je n'ai pas écrit que rien n'est inné. Certains traits de notre caractère sont présents dès notre naissance. Mais il s'agit d'une naissance dans cette vie-ci. Relisez le passage concerné par cet article. J'ai situé notre vie présente par rapport à nos incarnations précédentes. Car notre vie ne se résume pas aux quelques heures que nous passons en ce moment sur terre. Cette vie, chers lecteurs, n'est qu'un bref instant dans notre parcours. Cela étant compris, nous ne pouvons que penser que ces traits de caractère, dont nous sommes fiers ou que nous voulons corriger, sont le résultat de nos actions précédentes. C'est l'influence karmique. Mais nous aurons l'occasion de reparler du Karma, car beaucoup d'entre vous prennent, en quelque sorte, le problème à l'envers. Chacun de nous opte (oui ! J'ai bien écrit opte) pour des caractéristiques particulières afin de réaliser ce qu'il est venu accomplir, c'est à dire progresser vers l'amour véritable. Ce qui n'a pas été compris et intégré avant, sera mis au programme de la nouvelle incarnation.
dimanche 13 février 2011
jeudi 10 février 2011
Vient de paraître - Promotions
A l'occasion de la sortie de mon nouveau livre / "V pour Vendetta, vi veri veniversum vivus vici" des promotions valables jusqu'au 1 mars 2011 sont disponibles sur mon site. Commande en ligne ou commande papier.
mardi 8 février 2011
vendredi 4 février 2011
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