Il y a quelque temps, nous vous rapportions les propos du Commissaire européen Michel Barnier qui reconnaissait que L’UE avait fait preuve d’incompétence de naïveté dans les négociations avec la Chine. M Barnier n’a pas démissionné et n’a pas été démis de ses fonctions, merci pour lui.
On s’attendait donc à une plus grande fermeté de l’UE vis à vis de la Chine en ce qui concerne le dumping dont elle fait preuve en permanence et qui repose pour l’essentiel dans les conditions minables dans lesquelles travaillent les salariés chinois et leur salaire de misère.
Et bien pas du tout, au contraire. L’Union européenne ne compte pas reconduire la taxe anti-dumping sur les briquets chinois, en vigueur depuis plus de 20 ans. Elle estime que l’ouverture du marché ne causera pas de dommage à l’industrie européenne et en particulier à Bic, leader sur ce marché.
Décision économiquement inepte, d’autant que 76 % des briquets importés dans l’Union et ayant fait l’objet de tests seraient toujours non conformes aux normes de sécurité obligatoires depuis 2008. (Que choisir)
Les salariés du site de fabrication à Redon , dans l’ouest de la France commencent d’ores et déjà à s’inquiéter des conséquences de cette mesure et on les comprend.
Bravo donc à l’UE qui persiste et signe dans « sa naïveté ».
Quant aux normes de sécurité, la Commission européenne, estimerque les contrôles sont de la responsabilité des Etats membres. Pauvre Commission.
Source: L’Expansion
On s’attendait donc à une plus grande fermeté de l’UE vis à vis de la Chine en ce qui concerne le dumping dont elle fait preuve en permanence et qui repose pour l’essentiel dans les conditions minables dans lesquelles travaillent les salariés chinois et leur salaire de misère.
Et bien pas du tout, au contraire. L’Union européenne ne compte pas reconduire la taxe anti-dumping sur les briquets chinois, en vigueur depuis plus de 20 ans. Elle estime que l’ouverture du marché ne causera pas de dommage à l’industrie européenne et en particulier à Bic, leader sur ce marché.
Décision économiquement inepte, d’autant que 76 % des briquets importés dans l’Union et ayant fait l’objet de tests seraient toujours non conformes aux normes de sécurité obligatoires depuis 2008. (Que choisir)
Les salariés du site de fabrication à Redon , dans l’ouest de la France commencent d’ores et déjà à s’inquiéter des conséquences de cette mesure et on les comprend.
Bravo donc à l’UE qui persiste et signe dans « sa naïveté ».
Quant aux normes de sécurité, la Commission européenne, estimerque les contrôles sont de la responsabilité des Etats membres. Pauvre Commission.
Source: L’Expansion