Transformer une crise en une opportunité : humaniser l’économie
Le système économique mondial d’aujourd’hui, qui donne plus d’importance à l’argent et à la croissance monétaire qu’à toute autre chose, est en conflit avec les valeurs telles que l’affection, l’amitié, l’éducation, la santé et la sécurité. Celles-ci sont les valeurs chéries par les êtres humains. Dans leur majorité, les médias sont contrôlés par des intérêts qui tirent des bénéfices de cette situation injuste. Ils trompent donc le public en faisant la promotion de la litanie de banques privées – par la suite relayée par les gouvernements – comme si elle constituait une vérité absolue.
Les gens du monde entier expérimentent de nouveaux modèles économiques, des coopératives de petite taille en passant par les principes de de la « culture des cadeaux » et des opérations bancaires non lucratives. Il existe également des réformes à plus grande échelle qui sont entreprises par des gouvernements progressistes, tel que celui de la Bolivie, pour lesquelles ont prévoit la croissance la plus importante en Amérique du Sud, en 2013.
Au lieu de se concentrer uniquement sur la crise au sein de l’Union Européenne et les violentes manifestations dans les rue de Grèce, les médias devraient également rendre compte des modèles économiques alternatifs s’ils veulent donner une vision équilibrée de la crise économique. De tels mouvements montrent les directions et innovations qui mèneront à la révolution économique finale qui sera la conséquence de la nécessité humaine de façonner un monde paisible, varié et ouvert qui respecte l’environnement et donne à l’argent le rôle qui lui revient : un moyen d’échanger des biens et des services.
Les concepts tels que la croissance et l’usure ne conviennent pas aux modèles économiques humanistes du futur. Cette cession explorera ces thèmes et donnera aux membres l’opportunité de présenter quelques-unes des alternatives au modèle économique basée sur la croissance monétaire qui a failli à ses engagements auprès de la population mondiale depuis des siècles.
Traduction de l’anglais : Constance Fleury
Le système économique mondial d’aujourd’hui, qui donne plus d’importance à l’argent et à la croissance monétaire qu’à toute autre chose, est en conflit avec les valeurs telles que l’affection, l’amitié, l’éducation, la santé et la sécurité. Celles-ci sont les valeurs chéries par les êtres humains. Dans leur majorité, les médias sont contrôlés par des intérêts qui tirent des bénéfices de cette situation injuste. Ils trompent donc le public en faisant la promotion de la litanie de banques privées – par la suite relayée par les gouvernements – comme si elle constituait une vérité absolue.Les gens du monde entier expérimentent de nouveaux modèles économiques, des coopératives de petite taille en passant par les principes de de la « culture des cadeaux » et des opérations bancaires non lucratives. Il existe également des réformes à plus grande échelle qui sont entreprises par des gouvernements progressistes, tel que celui de la Bolivie, pour lesquelles ont prévoit la croissance la plus importante en Amérique du Sud, en 2013.
Au lieu de se concentrer uniquement sur la crise au sein de l’Union Européenne et les violentes manifestations dans les rue de Grèce, les médias devraient également rendre compte des modèles économiques alternatifs s’ils veulent donner une vision équilibrée de la crise économique. De tels mouvements montrent les directions et innovations qui mèneront à la révolution économique finale qui sera la conséquence de la nécessité humaine de façonner un monde paisible, varié et ouvert qui respecte l’environnement et donne à l’argent le rôle qui lui revient : un moyen d’échanger des biens et des services.
Les concepts tels que la croissance et l’usure ne conviennent pas aux modèles économiques humanistes du futur. Cette cession explorera ces thèmes et donnera aux membres l’opportunité de présenter quelques-unes des alternatives au modèle économique basée sur la croissance monétaire qui a failli à ses engagements auprès de la population mondiale depuis des siècles.
Traduction de l’anglais : Constance Fleury
