2 février
2014
Radio Canada : délit
de propagande
Serge
CHARBONNEAU
L’article qui suit a pour objectif de démontrer les trois étapes de la
propagande.
1 - Le lancement de la diffamation (ou la semence du mensonge) fait de façon organisée et spectaculaire afin d’obtenir une visibilité médiatique maximale.
Un lancement mettant à profit la puissante arme de manipulation massive que représentent tous les médias de masse occidentaux mis au diapason ainsi que tous les organismes « dominées » par cette réduite et puissante communauté dite internationale au service de l’oligarchie mondiale.
L’objectif : créer une onde de choc émotive afin de soumettre le jugement populaire.
2 - Brève période de surfing sur l’onde de choc initiale consistant en quelques déclarations fracassantes de ceux qui profitent de cette propagande bien médiatisée.
Cette période doit demeurer courte afin d’éviter à ce que le jugement populaire glisse vers le questionnement. On ne doit pas perdre l’orientation du jugement populaire. Prolonger ce surf risque d’entrainer le questionnement et par le fait même détruire l’effet obtenu lors du lancement.
L’objectif : enraciner la semence (le mensonge) en l’enveloppant d’un apparent "sérieux". Les notables et les organismes "respectables" (sic) sont alors mis à profit (Politiciens, ONU, HRW, etc.).
3 - Divertir le jugement populaire par d’autres événements ou propagande afin d’éviter aux citoyens de « trop » réfléchir sur cette diffamation lancée à l’étape 1. Donc remplacement rapide par d’autres sujets d’actualité ou de propagande.
L’objectif : éviter à tout prix le questionnement et les attentes de précision concernant la diffamation faite à l’étape 1. Il faut éviter que le questionnement, la réflexion et le rationnel ne remplacent l’émotion ayant engendré ce jugement catégorique inculqué dans la population. Il ne faut pas déraciner cette semence savamment inculquée dans l’émotif des citoyens (dans ce cas-ci : « Assad est un régime dégoûtant. »)
Cet article rédigé du 22 au 25 janvier 2014 n’est publié que maintenant pour permettre aux lecteurs de bien juger de l’étape numéro 3.
Le lecteur peut ainsi observer l’à-propos de cette étape en voyant l’actualité et le « suivi » (absent) de l’événement diffamatoire.
La propagande vise à inculquer un jugement clef-en-main. Tout est mis en œuvre pour éviter tout questionnement, toute réflexion des citoyens. On attise l’émotif et on réduit à néant la réflexion et le questionnement.
Il faut éviter à tout prix que les gens réfléchissent et remettent en question le jugement catégorique qui leur est imposée à l’étape 1 ("les images sont atroces... nous vous avertissons !").
La propagande ne peut se faire sans la coopération du quatrième pouvoir, ce quatrième pouvoirjadis chien de garde [22] au service des citoyens contre les dérives et abus de l’autorité.
La propagande ne pourrait exister sans la malhonnêteté journalistique.
Cet article démontre cette malhonnêteté en utilisant l’exemple de Radio-Canada, cette société publique jadis le phare de l’information canadienne au niveau international aujourd’hui transformer en organe de diffusion de la propagande mondiale.
Il est impératif que tous les citoyens prennent connaissance de ce rapport.
Il est impératif que tous les citoyens soient conscients de cette propagande diffusée par tous nos médias occidentaux, ainsi qu’à l’ONU et à Genève afin d’obtenir, peu à peu, notre consentement à une éventuelle guerre contre la Syrie.
Le 21 janvier dernier (2014), une plainte a été faite à l’encontre de Radio-Canada pour délit de propagande. (Document 1 en téléchargement au bas) La plainte concerne « la façon propagandiste » de présenter le rapport s’intitulant : « A Report into the credibility of certain evidence with regard to Torture and Execution of Persons Incarcerated by the current Syrian regime » [1]
Radio-Canada, sous la nouvelle « Des preuves de torture et d’exécutions de masse de détenus en Syrie » [2] nous présente ce rapport ainsi : « Le rapport (ATTENTION : contient des images choquantes et violentes) »
lire la suite sur Le grand soir
1 - Le lancement de la diffamation (ou la semence du mensonge) fait de façon organisée et spectaculaire afin d’obtenir une visibilité médiatique maximale.
Un lancement mettant à profit la puissante arme de manipulation massive que représentent tous les médias de masse occidentaux mis au diapason ainsi que tous les organismes « dominées » par cette réduite et puissante communauté dite internationale au service de l’oligarchie mondiale.
L’objectif : créer une onde de choc émotive afin de soumettre le jugement populaire.
2 - Brève période de surfing sur l’onde de choc initiale consistant en quelques déclarations fracassantes de ceux qui profitent de cette propagande bien médiatisée.
Cette période doit demeurer courte afin d’éviter à ce que le jugement populaire glisse vers le questionnement. On ne doit pas perdre l’orientation du jugement populaire. Prolonger ce surf risque d’entrainer le questionnement et par le fait même détruire l’effet obtenu lors du lancement.
L’objectif : enraciner la semence (le mensonge) en l’enveloppant d’un apparent "sérieux". Les notables et les organismes "respectables" (sic) sont alors mis à profit (Politiciens, ONU, HRW, etc.).
3 - Divertir le jugement populaire par d’autres événements ou propagande afin d’éviter aux citoyens de « trop » réfléchir sur cette diffamation lancée à l’étape 1. Donc remplacement rapide par d’autres sujets d’actualité ou de propagande.
L’objectif : éviter à tout prix le questionnement et les attentes de précision concernant la diffamation faite à l’étape 1. Il faut éviter que le questionnement, la réflexion et le rationnel ne remplacent l’émotion ayant engendré ce jugement catégorique inculqué dans la population. Il ne faut pas déraciner cette semence savamment inculquée dans l’émotif des citoyens (dans ce cas-ci : « Assad est un régime dégoûtant. »)
Cet article rédigé du 22 au 25 janvier 2014 n’est publié que maintenant pour permettre aux lecteurs de bien juger de l’étape numéro 3.
Le lecteur peut ainsi observer l’à-propos de cette étape en voyant l’actualité et le « suivi » (absent) de l’événement diffamatoire.
La propagande vise à inculquer un jugement clef-en-main. Tout est mis en œuvre pour éviter tout questionnement, toute réflexion des citoyens. On attise l’émotif et on réduit à néant la réflexion et le questionnement.
Il faut éviter à tout prix que les gens réfléchissent et remettent en question le jugement catégorique qui leur est imposée à l’étape 1 ("les images sont atroces... nous vous avertissons !").
La propagande ne peut se faire sans la coopération du quatrième pouvoir, ce quatrième pouvoirjadis chien de garde [22] au service des citoyens contre les dérives et abus de l’autorité.
La propagande ne pourrait exister sans la malhonnêteté journalistique.
Cet article démontre cette malhonnêteté en utilisant l’exemple de Radio-Canada, cette société publique jadis le phare de l’information canadienne au niveau international aujourd’hui transformer en organe de diffusion de la propagande mondiale.
Il est impératif que tous les citoyens prennent connaissance de ce rapport.
Il est impératif que tous les citoyens soient conscients de cette propagande diffusée par tous nos médias occidentaux, ainsi qu’à l’ONU et à Genève afin d’obtenir, peu à peu, notre consentement à une éventuelle guerre contre la Syrie.
Le 21 janvier dernier (2014), une plainte a été faite à l’encontre de Radio-Canada pour délit de propagande. (Document 1 en téléchargement au bas) La plainte concerne « la façon propagandiste » de présenter le rapport s’intitulant : « A Report into the credibility of certain evidence with regard to Torture and Execution of Persons Incarcerated by the current Syrian regime » [1]
Radio-Canada, sous la nouvelle « Des preuves de torture et d’exécutions de masse de détenus en Syrie » [2] nous présente ce rapport ainsi : « Le rapport (ATTENTION : contient des images choquantes et violentes) »
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