mardi 1 avril 2014

François Hollande Et l'Impact d’Irresponsabilité (ce que les medias ne nous disent pas)

François Hollande Et l'Impact d’Irresponsabilité
Des députés PS envisagent de ne pas voter la confiance au gouvernement
Ils se sont donnés rendez-vous ce lundi midi en petit comité, puis en fin d’après-midi en conclave plus large. Ils envisagent de signer un texte commun pour animer le débat sur la ligne politique choisie par le président de la République, estimant que c’est ce qui a été rejeté par les Français, bien plus que les dysfonctionnements du gouvernement. L’idée est d’ »organiser au sein du groupe parlementaire une coalition qui puisse peser », explique le député de la Nièvre Christian Paul, proche de Martine Aubry.

Rébellion parlementaire

«Je n’accorde pas ma confiance à une politique qui n’a pas la confiance des Français »..." Les maires ont payé très cher la facture de l’indifférence du pouvoir de gauche à l’égard des gens d’en bas. la rébellion parlementaire s’impose : pas de confiance au prochain gouvernement s’il n’y a pas de changement de fond ! »...« Pour beaucoup de parlementaires aujourd’hui, la confiance n’est pas automatique ». (aile gauche du PS)

Le Drian (pourtant un fidèle du chateau) envoie paître Hollande et se rallie à Valls!

Laurent Fabius a également dit non à François Hollande lorsque celui-ci avait évoqué devant lui sa possible nomination à Matignon fin 2013. Trente ans après...

Une défaite? Non Sire, une débacle!

C'est enfermé dans son bureau que le président a encaissé la cascade de mauvaises nouvelles. Car, loin du sursaut espéré, les électeurs ont amplifié la gifle du premier tour. « Ça tape fort ! » avoue le président de l'Assemblée, Claude Bartolone. « C'est une défaite, les gens de gauche nous ont sanctionnés. Ils n'y retrouvent pas leur compte », assène le ministrable François Rebsamen, réélu à Dijon. En off, le verdict est plus sévère : « On appelle ça une débâcle », lâche un conseiller ministériel.
De fait, la soirée a viré à l'humiliation. Des bastions historiques comme Limoges (à gauche depuis 1912), La Roche-sur-Yon (à gauche depuis trente-sept ans) ou Nevers basculent. Pis pour le président de la République, sa terre de Corrèze