vendredi 13 juin 2014

La France se couche ! BNP : premier départ d’un haut dirigeant, réclamé par les Américains (Les moutons enragés)

La France se couche ! BNP : premier départ d’un haut dirigeant, réclamé par les Américains

C’est une honte! De voir ces carpettes censées nous diriger et travailler pour leur pays autoriser cela, qu’ils démissionnent tous, au les remplacera par d’autres qui auront sans réelle difficulté plus de contenu dans le slip!!! Quand à l’article de Charles Sannat, je rectifie une simple petite erreur, les USA ne sont pas ennemis de la France depuis 2003, les attaques contre la France datent de bien avant cela… De Gaulle qui est poussé vers la sortie avec les conséquences que l’on connait, Mitterand qui explique que nous sommes en guerre contre les Etats-Unis, cela fait déjà des décennies, et cela continue encore et encore…
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La France se couche devant les USA et sacrifie le délégué général de la BNP, Georges Chodron de Courcel…
L’idée ? Tenter de calmer les Américains… mais les Américains ne seront pas calmés par une simple exécution, fut-elle en place publique. Ils veulent sanctionner la France pour l’affaire Alstom et pour la vente des navires de guerre à la Russie.
La BNP n’est dans tout cela qu’un vecteur de pression diplomatique et commerciale.
Les Américains ne sont plus depuis la guerre en Irak nos alliés. En décidant de nous « punir », selon les propres mots de Bush junior en 2003, de notre non participation dans ce qui allait évidemment devenir un bourbier et un fiasco aussi bien politique que militaire, les États-Unis d’Amérique ont choisi la confrontation avec notre pays.
La France doit relever ce défi et mettre sa diplomatie et son énergie au service de l’indépendance nationale et de nouvelles alliances aussi bien avec la Chine qu’évidemment la Russie dans une forme de non alignement vis-à-vis des USA. Il n’y avait pas d’autre chemin que celui-là pour la France. C’était celui de de Gaulle, Sarkozy l’a définitivement achevé et Hollande le mou s’est occupé de l’enterrement.
Nous payons aujourd’hui le prix, et ce n’est que le début, de notre lâcheté politique confinant à la haute trahison de nos intérêts stratégiques et économiques. Le traité transatlantique finira de nous achever.
Charles SANNAT
Source: Le contrarien