Gattaz, Hollande, Valls, Kafka, émoi, émoi, émoi…
Pierre
Gattaz, patron du MEDEF, lançant une ovation debout pour le premier
ministre « socialiste », le président (« socialiste ») de la République
faisant applaudir Gattaz dans la Silicon Valley, le cadeau de 50
milliards aux entreprises, c’était du lourd, même pour des électeurs
socialos-moutonniers, tendance Pavlov-Votutile.
Malgré leur anosmie politique qui leur fait croire que le PS sent la rose, ils flairèrent dans Le « Pacte de responsabilité », par lequel le MEDEF s’engageait en contrepartie à créer 1 million d’emplois en 5 ans, un cadeau aux patrons, camouflé par des pin’s.
Et voici que Gattaz avoue que le MEDEF a fait fabriquer (« en partie ») les pin’s en Tchéquie. Chez Kafka !
Les anars d’hier (je veux dire « les vrais ») avaient un vigoureux slogan anti-militariste qu’on peut reprendre en l’adaptant :
« A basl’armée le MEDEF, ça pue, ça tue [l’emploi)] et ça rend con ! ».
Théophraste R.
PS. Et, cerise sur legâteux Gattaz, les économistes
notent que la France créé mécaniquement 200 000 emplois par an (même si
elle en perd autant ou plus par ailleurs). Donc, 1 million d’emplois
seront créés en 5 ans sans le secours des 50 milliards et des pin’s
tchèques. Le bon pin’s, c’est : « 1 million de licenciements en moins ».
Malgré leur anosmie politique qui leur fait croire que le PS sent la rose, ils flairèrent dans Le « Pacte de responsabilité », par lequel le MEDEF s’engageait en contrepartie à créer 1 million d’emplois en 5 ans, un cadeau aux patrons, camouflé par des pin’s.
Et voici que Gattaz avoue que le MEDEF a fait fabriquer (« en partie ») les pin’s en Tchéquie. Chez Kafka !
Les anars d’hier (je veux dire « les vrais ») avaient un vigoureux slogan anti-militariste qu’on peut reprendre en l’adaptant :
« A bas
Théophraste R.
PS. Et, cerise sur le