Nicolas Maduro Moros
Président de la république Bolivarienne du Venezuela
Caracas, 20 décembre 2014
Héros et frères,
Gerardo Hernandez Nordelo
Antonio Guerrero Rodriguez
Ramon Labanino Salazar
Fernando GonzalezLlort
RenéGonzalez Sehwerert
Infinie fut notre joie en vous voyant jeudi dernier, marcher sur la terre révolutionnaire de Cuba. Je ne pense pas exagérer en disant qu’à ce moment là, les frontières ont disparu : l’allégresse partagée fut une seule dans toute la Grande Patrie.
En vous, compagnons, en l’exemplarité transcendante de chacun d’entre vous, resplendit la dignité du Peuple cubain et de toute notre Amérique. La loyauté et l’engagement que vous avez incarné dans les prisons étasuniennes traduisent de façon exacte les paroles de l’Apôtre : « c’est seulement dans l’accomplissement triste et austère du devoir que se trouve la véritable gloire ». Vous vous êtes couverts de gloire : c’est la récompense pour le sacrifice accompli par un révolutionnaire quand il est authentique et abandonne tout au service de sa Patrie.
Vous n’avez pas plié devant l’acharnement de l’empire et vous avez fait face avec un courage admirable à toutes les difficultés et toutes les adversités. Gerardo, Ramon, Tony, René et Fernando : nous revendiquons aujourd’hui à travers vous la lutte de tous les Peuples qui ne renoncent pas à leur détermination à être libres. Et je sais que du ciel des justes, le Commandant Chavez se réjouit avec nous.
La lumière qui éclaire le témoignage de vos prouesses est le sens et la raison d’être du Peuple de Marti : le Peuple qui a tant espéré votre retour, le Peuple qui voit en votre libération la fin définitive du blocus criminel auquel Cuba a été soumise pendant 55 ans.
Seul l’amour fait naitre la mélodie… Je reviens à ce vers de Marti pour reconnaitre en vous la chanson d’amour la plus pure, pour Fidel, pour Raul et pour l’héroïque Peuple Cubain. Je vous embrasse et avec moi, vous embrasse tout le peuple fraternel de Bolivar et de Chavez qui vous gardait toujours dans son cœur.
Toujours unis et dans la bataille !
Chavez vit et la lutte continue !
Hasta la victoria siempre !
Indépendance et Patrie Socialiste !
Viviremos y venceremos !
Traduit par irisinda
Président de la république Bolivarienne du Venezuela
Caracas, 20 décembre 2014
Héros et frères,
Gerardo Hernandez Nordelo
Antonio Guerrero Rodriguez
Ramon Labanino Salazar
Fernando GonzalezLlort
RenéGonzalez Sehwerert
Infinie fut notre joie en vous voyant jeudi dernier, marcher sur la terre révolutionnaire de Cuba. Je ne pense pas exagérer en disant qu’à ce moment là, les frontières ont disparu : l’allégresse partagée fut une seule dans toute la Grande Patrie.
En vous, compagnons, en l’exemplarité transcendante de chacun d’entre vous, resplendit la dignité du Peuple cubain et de toute notre Amérique. La loyauté et l’engagement que vous avez incarné dans les prisons étasuniennes traduisent de façon exacte les paroles de l’Apôtre : « c’est seulement dans l’accomplissement triste et austère du devoir que se trouve la véritable gloire ». Vous vous êtes couverts de gloire : c’est la récompense pour le sacrifice accompli par un révolutionnaire quand il est authentique et abandonne tout au service de sa Patrie.
Vous n’avez pas plié devant l’acharnement de l’empire et vous avez fait face avec un courage admirable à toutes les difficultés et toutes les adversités. Gerardo, Ramon, Tony, René et Fernando : nous revendiquons aujourd’hui à travers vous la lutte de tous les Peuples qui ne renoncent pas à leur détermination à être libres. Et je sais que du ciel des justes, le Commandant Chavez se réjouit avec nous.
La lumière qui éclaire le témoignage de vos prouesses est le sens et la raison d’être du Peuple de Marti : le Peuple qui a tant espéré votre retour, le Peuple qui voit en votre libération la fin définitive du blocus criminel auquel Cuba a été soumise pendant 55 ans.
Seul l’amour fait naitre la mélodie… Je reviens à ce vers de Marti pour reconnaitre en vous la chanson d’amour la plus pure, pour Fidel, pour Raul et pour l’héroïque Peuple Cubain. Je vous embrasse et avec moi, vous embrasse tout le peuple fraternel de Bolivar et de Chavez qui vous gardait toujours dans son cœur.
Toujours unis et dans la bataille !
Chavez vit et la lutte continue !
Hasta la victoria siempre !
Indépendance et Patrie Socialiste !
Viviremos y venceremos !
Traduit par irisinda
URL de cet article 27672
http://www.legrandsoir.info/nicolas-maduro-envoie-une-lettre-aux-cinq.html
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