mercredi 28 janvier 2015

Message de Vladimir Poutine à l’occasion de la commémoration du 70e anniversaire de la libération d’Auschwitz (les moutons enragés)

Poutine

Comble de l’intelligence, les libérateurs du camp n’ont pas été invités aux commémorations! Une honte, quand on voit la liste des invités… C’en est aussi grand-guignolesque que la marche pour la république soit-disant au nom de la liberté de la presse…

Parmi les invités:
  • François Hollande bien sûr,
  • Le président allemand Joachim Gauck
  • Le président ukrainien Petro Porochenko, celui qui couvre les néo-nazis du pays malgré l’inquiétude des rabbins ukrainiens
  • le secrétaire américain au Trésor Jack Lew, représentant le pays qui a collaboré avec Hitler et qui a récupéré les nazis à la fin de la guerre (voir plus bas)
  • Les familles royales belge et néerlandaise
Poutine a donc prononcé quelques mots, on peut néanmoins regretter qu’il ne soit pas plus éloquent, c’était là une bonne occasion d’en placer quelques unes bien senties…

Pour la première fois, Vladimir Poutine n’a pas assisté à ces commémorations, signe éloquent des tensions entre la Russie et l’Occident et de l’indépendance croissante de Moscou.
Vladimir Poutine a adressé ce message à tous les participants à la cérémonie de commémoration du 70e anniversaire de la libération du camp de concentration d’Auschwitz par l’Armée Rouge et à l’occasion de la Journée Internationale de commémoration de l’Holocauste


Dans son message, le Président de la Fédération de Russie a notamment souligné :
« L’Holocauste a été l’une des pages les plus tragiques et les plus honteuses de l’histoire humaine. Des millions de personnes innocentes ont été victimes des nazis, ont vécu l’enfer des camps de la mort et ont été fusillés, torturés, et sont morts de faim et de maladie. L’Armée Rouge a mis un terme à ces atrocités et à cette barbarie impitoyable et a sauvé non seulement le peuple juif, mais également les autres peuples d’Europe et du monde.



Nous devons toujours garder fermement à l’esprit que toute tentative de réécrire l’histoire et la contribution de notre pays à la grande victoire reviendrait à justifier les crimes du nazisme et ouvrirait la porte à la réémergence de cette idéologie meurtrière. Oublier les leçons de notre passé commun pourrait conduire à une répétition de ces terribles tragédies. Il est donc de notre devoir de défendre la vérité sur les événements de la Seconde Guerre mondiale et de défendre les réalisations, la dignité et la réputation de ceux qui vivent et de ceux qui ne sont plus.
C’est notre devoir et c’est une question d’honneur auprès des générations à venir. »

Mais je tenais à revenir au cas des États-Unis, et à leur participation plus ou moins directe au génocide juif. Entre autres vérités, les médias officiels (pour se baser sur des sources que certains ne contesteront pas) peuvent nous apprendre que:
Au final, les États-Unis étaient invités et présents, l’Ukraine était invitée et présente, et les libérateurs indésirables n’ont pas pu être présents. Cherchez l’erreur…