Ce membre de la Trilatérale, fier d’en être puisqu’il l’avouera lui-même sur Radio Notre-Dame, vient nous expliquant en s’esclaffant de rire que le monde et pas que la France, est dirigé par un groupe de personnes très riches qui détiennent le pouvoir et qu’il estime à 50.000 personnes !
Nous aurions dit ça, on aurait eu la planète média sur le dos pour complotisme parno. Sur CSOJ en direct via le service public ça passe comme une lettre à la poste… C’est assez ahurissant comme des infos graves et importantes sortent de plus en plus ces derniers temps ! On aura eu l’intérêt public d’avoir dénoncé ce complot oligarchique avant tout le monde ou du moins les ratés et autres paillassons du système.
Nous aurions dit ça, on aurait eu la planète média sur le dos pour complotisme parno. Sur CSOJ en direct via le service public ça passe comme une lettre à la poste… C’est assez ahurissant comme des infos graves et importantes sortent de plus en plus ces derniers temps ! On aura eu l’intérêt public d’avoir dénoncé ce complot oligarchique avant tout le monde ou du moins les ratés et autres paillassons du système.
Alain Cotta, membre de la Trilatérale : "La démocratie est un leurre" ( 22 mars 2011)
Alain Cotta, économiste, membre de la Commission Trilatérale, et auteur du Règne des oligarchies, était l’invité du Grand Témoin sur Radio-Notre-Dame le 14 février 2011.
Selon lui, partout sur la planète, le pouvoir est détenu par 1% de la population. C’est le règne des oligarchies, qui prennent "toutes les décisions qui nous concernent". Cotta distingue quatre types d’oligarques : les dirigeants des grandes entreprises de production et financières, les hommes politiques, les militaires, et les "oligo-riches".
L’économiste ne dénonce pas cet état de fait, dans la mesure où il lui semble assez naturel : "L’oligarchie ne me paraît pas du tout inquiétante, ça me paraît être, au contraire, le gouvernement naturel des hommes en communauté". En outre, comme il le souligne, l’oligarchie peut permettre, dans certains cas, une réelle participation démocratique, comme en Suisse avec l’usage fréquent du référendum.
Pour autant, dans la plupart des cas, "ce que nous appelons la démocratie est un espèce de leurre, qui nous fait plaisir, parce que nous préférons nous dire tous les matins que nous avons quelque pouvoir sur les décisions collectives et que nous vivons en démocratie plutôt qu’en oligarchie..." (8 min 30)
Dans une interview à Scriptoblog, parue le 14 février dernier, il avait également reconnu l’inexistence des démocraties : "Nulle part aujourd’hui il n’existe de démocratie directe, pas plus que représentative." Et alors qu’on lui demandait comment les oligarchies se prémunissaient contre la vindicte des peuples, il avait répondu : "Elles disposent de plusieurs moyens de protection : la réussite économique, la corruption et les moyens de détourner de l’attention des masses, désormais très efficaces : Internet, Twitter, facebook et plus généralement tous les médias de communication. Ajoutons que la complexité croissante des problèmes posés aux différentes collectivités nationales écarte naturellement la participation d’un très grand nombre d’individus à cause soit de leur incompétence, soit de leur indifférence à l’égard de solution qui ont peu d’influence sur leur vie quotidienne".
Dans la suite de son intervention sur Radio-Notre-Dame, Alain Cotta décrit son expérience au sein de la Commission Trilatérale, fondée par David Rockefeller et Henry Kissinger, avant d’évoquer la sortie de l’euro, qui gagne de plus en plus les esprits parmi les politiques, même s’ils pratiquent encore le double langage, dans les médias et en privé.
***
2e partie de l’interview d’Alain Cotta, sur la sortie de l’euro, inévitable selon lui, et les "révolutions" arabes, qu’il qualifie plutôt de "révoltes" ou d’"agitations" :
Alain Cotta, économiste, membre de la Commission Trilatérale, et auteur du Règne des oligarchies, était l’invité du Grand Témoin sur Radio-Notre-Dame le 14 février 2011.
Selon lui, partout sur la planète, le pouvoir est détenu par 1% de la population. C’est le règne des oligarchies, qui prennent "toutes les décisions qui nous concernent". Cotta distingue quatre types d’oligarques : les dirigeants des grandes entreprises de production et financières, les hommes politiques, les militaires, et les "oligo-riches".
L’économiste ne dénonce pas cet état de fait, dans la mesure où il lui semble assez naturel : "L’oligarchie ne me paraît pas du tout inquiétante, ça me paraît être, au contraire, le gouvernement naturel des hommes en communauté". En outre, comme il le souligne, l’oligarchie peut permettre, dans certains cas, une réelle participation démocratique, comme en Suisse avec l’usage fréquent du référendum.
Pour autant, dans la plupart des cas, "ce que nous appelons la démocratie est un espèce de leurre, qui nous fait plaisir, parce que nous préférons nous dire tous les matins que nous avons quelque pouvoir sur les décisions collectives et que nous vivons en démocratie plutôt qu’en oligarchie..." (8 min 30)
Dans une interview à Scriptoblog, parue le 14 février dernier, il avait également reconnu l’inexistence des démocraties : "Nulle part aujourd’hui il n’existe de démocratie directe, pas plus que représentative." Et alors qu’on lui demandait comment les oligarchies se prémunissaient contre la vindicte des peuples, il avait répondu : "Elles disposent de plusieurs moyens de protection : la réussite économique, la corruption et les moyens de détourner de l’attention des masses, désormais très efficaces : Internet, Twitter, facebook et plus généralement tous les médias de communication. Ajoutons que la complexité croissante des problèmes posés aux différentes collectivités nationales écarte naturellement la participation d’un très grand nombre d’individus à cause soit de leur incompétence, soit de leur indifférence à l’égard de solution qui ont peu d’influence sur leur vie quotidienne".
Dans la suite de son intervention sur Radio-Notre-Dame, Alain Cotta décrit son expérience au sein de la Commission Trilatérale, fondée par David Rockefeller et Henry Kissinger, avant d’évoquer la sortie de l’euro, qui gagne de plus en plus les esprits parmi les politiques, même s’ils pratiquent encore le double langage, dans les médias et en privé.
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2e partie de l’interview d’Alain Cotta, sur la sortie de l’euro, inévitable selon lui, et les "révolutions" arabes, qu’il qualifie plutôt de "révoltes" ou d’"agitations" :
Alain Cotta : "L'euro est condamné" par taike-eilee
Sources:
LLP
Agoravox