La dernière tendance londonienne consiste à convier les enfants à exercer un métier, à toucher un salaire et à le dépenser.
 

 
 
 
 
Les concepteurs réfutent toute polémique. « Avec la télé et internet, notre monde est de toute façon un monde de marques. Ici ce n’est pas une éducation à la publicité, c’est une ouverture sur les opportunités de carrière » se défend Ger Graus, le directeur. Les droits et devoirs des adultes sont présents. Les enfants touchent un salaire pour leur travail.
Les concepteurs assurent faire une mission pédagogique. « On leur enseigne les valeurs de la vraie vie. Il s’agit d’apprendre aux enfants de la prochaine génération que rien ne tombe du ciel », promet Joel Cadbury, directeur général de Kidzania Londres.