Les études financées par les compagnies elles-mêmes vantant les mérites des antidépresseurs font que statistiquement, les chances de résultats négatifs sont réduites face à l’intérêt financier en jeu. Ainsi, il est désormais obligatoire de mentionner les financements dans le cadre d’une étude biomédicale.
Selon John P.A. Ioannidis et son équipe, un tiers des méta-analyses sur le résultats obtenus par les antidépresseurs ont été écrites par des personnes rémunérées par les sociétés, alors que le second tiers avait un lien de près ou de loin à l’industrie.

Le dernier tiers concernerait donc les études non financées par les entreprises.