Sûreté du vaccin contre le HPV
Un nouveau documentaire irlandais dénonce le mensonge
11.12.2015
C’est en 2010 que l’Irlande a introduit la vaccination contre le HPV. Il ne fallut pas longtemps avant que des parents commencent à se rendre compte des effets indésirables graves qui ont rapidement suivi les vaccinations. Comme le nombre des personnes touchées augmentait, il devenait indispensable qu’un groupe de soutien et un activisme puissent se former pour venir en aide aux familles dans leurs recherches de réponses. C’est donc ainsi que REGRET fut formé pour répondre à ces besoins.
Les médias traditionnels irlandais et une poignée de courageux politiciens sensibilisés au problème ont répondu à l’appel lancé par les familles pour pouvoir faire toute la lumière, faire éclater la vérité. Contrairement aux médias américains qui auraient tendance à taire toute information défavorable aux vaccins, les journalistes irlandais semblent avoir plus d’autonomie pour faire face à des enquêtes difficiles. Des mois de reportages radio, télévisés et diverses publications sur le nombre croissant de jeunes filles souffrant de réactions indésirables graves au vaccin Gardasil ont abouti à la création d’un documentaire intitulé : « Le vaccin contre le cancer du col de l’utérus est-il sans danger ? » Récemment diffusé sur les grandes chaines de télévision irlandaises, ce nouveau documentaire a mis toute l’Irlande en effervescence. Le pays s’est maintenant éveillé et réalise que leur système de santé associé à l’apathie et à l’incompétence politique a pu permettre que tous ces dommages de santé se poursuivent jusqu’à aujourd’hui.
Laura Smith : « J’avais une bonne intelligence. Maintenant, j’ai comme un brouillard dans le cerveau. Je ne trouve plus mes mots. Je me sens si stupide ! La maman de Laura a dû, à plusieurs reprises, aller la chercher à l’école suite à ses douleurs abdominales, à ses vertiges, ses maux de tête, sa grande fatigue, et ses douleurs musculaires. Un moment donné, Laura n’a plus pu aller à l’école…
Chaque année, quand j’apprends que des filles se font vacciner dans mon école contre le HPV, je me sens prise de vomissements et devenir tellement malade. Je ne veux vraiment pas qu’une personne de plus ait à vivre ce que je dois endurer !
Le documentaire raconte l’histoire et la lutte de quatre jeunes filles et de leurs familles pour trouver des réponses au sein du système de soins de santé irlandais qui a, malheureusement peu à offrir. Les histoires racontées directement par les jeunes-filles et par leurs parents présentent des similitudes flagrantes non seulement par rapport aux symptômes mais aussi par rapport à la durée des dommages qui ont suivi l’administration du Gardasil. Ces histoires évoquent aussi toute une série d’émotions pénibles et de frustrations.
Quand on lui demande si elle a déjà pu vivre un seul jour avec une énergie normale et sans douleurs depuis qu’elle a reçu le vaccin Gardasil, Kelly Power, l’une des filles interviewées dans le documentaire, elle répond :
« Non, … Je prends des quantités de médicaments anti-douleur. Mais ces analgésiques me donnent des maux d’estomac…On me prescrit un nombre invraisemblable de médicaments par mois. J’essaie d’en prendre le moins possible, mais ce dont j’ai surtout besoin, ce sont des médicaments contre la douleur. »
Kelly : « J’étais une fille très sportive. Aujourd’hui, je ne sais plus prendre une douche. J’éprouve tellement de difficultés à m’habiller, à lire, à me concentrer. Je ne sais plus penser normalement. Je ne trouve plus mes mots. Depuis que j’ai été vaccinée je n’ai jamais connu un seul jour où j’avais de l’énergie et où je ne souffrais pas. »
Abby Colohan est une autre jeune-fille que l’on voit dans le documentaire. Elle a reçu deux vaccins dans chaque bras à l’école. De graves réactions ont immédiatement suivi l’administration des vaccins. L’école à dû appeler son père pour la reconduire à la maison. La maman d’ Abby décrit la scène :
« Quand elle est arrivée à la maison, je ne pouvais pas en croire mes yeux. C’était une fille complètement différente de celle qui avait quitté la maison le matin pour se rendre à l’école. Elle ne savait plus parler, son teint était très bizarre, comme gris-pourpre. Ses yeux étaient dilatés, on pouvait à peine voir le blanc de ses yeux. Les articulations de ses poignet, de ses coudes de ses genoux étaient enflées et raides. Elle était prise de terribles secousses. »
L’Irlande se joint maintenant à des dizaines d’autres pays qui tirent la sonnette d’alarme. Dans plusieurs pays, des parents ont pris conscience qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond du tout. Chacun essaye, à sa façon, de faire du bruit autour de ces drames. Le tout nouveau documentaire irlandais est en fait le troisième documentaire international créé en un court laps de temps et qui ont trait aux dommages directement mis en relation avec le vaccin contre le HPV. On peut, par exemple, citer le documentaire danois de mai 2015 : « De vaccinerede Piger (Les filles vaccinées) qui suscite le commentaire suivant :
Le Danemark est un des nombreux pays où le vaccin Gardasil a fait l’objet d’une controverse. Ce documentaire raconte des histoires fort semblables à celles qui se sont passées en Irlande et ailleurs : des filles dont la vie est ruinée, des parents qui cherchent des réponses et des médecins qui sont incapables de les fournir. »
Le vaccin contre le HPV est disponible sous trois formes différentes : le Gardasil, le Gardasil 9 et le Cervarix. Ces trois vaccins présentent un point commun : dans quelque pays où ces vaccins sont introduits, on voit des parents se lever pour protester suite aux dommages de santé que le vaccin a provoqués chez leurs filles. Les plaintes, les lanceurs d’alerte, les activistes se sont vite multipliés au sujet de la sécurité des vaccins comme aussi au sujet de l’incapacité des systèmes médicaux de chaque pays de répondre rationnellement et de manière appropriée à l’énorme quantité de ces graves effets indésirables.
Maman de Laura : « Je ne sais pas comment exprimer ce que je ressens. C’est bien au-delà de ce que j’aurais jamais pu imaginer !
Il a été décidé de mettre sur pied un Colloque mondial (Global HPV Advocacy Symposium) pour tenter de venir en aide aux familles. Ce Colloque aura lieu à Chicago des 25 au 29 mai 2016. Il réunira des médecins, des personnes du monde entier pour faire avancer les choses et trouver des solutions, alors que les systèmes médicaux et politiques traditionnels léthargiques continuent d’être incapables de répondre rationnellement aux questions qui se posent en relation avec les dommages enregistrés après cette vaccination.
Source: Jeffereyjaxen.com