jeudi 27 octobre 2016

Privilèges : 5 villes de l’Essonne privées de policier pour protéger l’ex-femme de M. Valls (les brindherbes

Privilèges : 5 villes de l’Essonne privées de policier pour protéger l’ex-femme de M. Valls

C’est le titre qu’a choisi le engagés) Parisien pour nous faire connaître les dérives de cette oligarchie qui use et abuse de l’Etat à son profit. En réalité, c’est toute une liste de « personnalités » du département qui bénéficie des protections de policiers qui auraient sûrement des tâches plus constructives à faire ailleurs :
Deux policiers affectés 24 heures/24 devant l’appartement de l’ex-femme de Manuel Valls à Évry. Trois autres avec le rabbin de Ris-Orangis, Michel Serfaty, dès qu’il quitte son domicile. Deux de plus qui accompagnent le recteur de la mosquée de Courcouronnes, Khalil Merroun. Sans compter les nombreux équipages nécessaires à la protection du Premier ministre lors de ses récurrentes visites dans le département.
Les policiers de l’Essonne sont chargés de protéger de nombreuses personnalités. Mais face au manque de moyens et d’effectifs, ils sont de plus en plus nombreux à considérer cette mission comme « une tâche indue ».
Une situation qui a atteint son paroxysme ce lundi matin, vers 6 heures. Pour « surveiller la résidence de la famille du Premier ministre » à la demande du centre de commandement d’Évry, le commissariat de Brunoy a été contraint d’envoyer un équipage sur place… Et s’est retrouvé sans policier disponible sur sa propre circonscription. Car comme le précise une note de service confidentielle, c’était « l’unique patrouille disponible » pour intervenir durant toute la matinée sur ce secteur de 55 000 habitants comprenant les villes de Boussy-Saint-Antoine, Brunoy, Epinay-sous-Sénart, Quincy-sous-Sénart et Varennes-Jarcy.
Multipliez ça par le nombre de gens « importants »  dans la France entière et vous aurez une idée du budget faramineux de la surveillance des « personnalités » sur le dos du contribuable.  Du coup, on comprend mieux la colère des policiers qui croient un peu à ce qu’ils font.  Faire de la surveillance, c’est le pire côté du boulot de flic. C’est des journées perdues à faire le pied de grue ou à planquer dans un véhicule de longues et mornes heures.
Combien de personnalités politiques ou religieuses atteintes par les attentats ? Combien de personnes de l’entourage direct des hommes de pouvoir ? Combien d’hommes de pouvoir eux-mêmes visés directement par le terrorisme ?  1 malheureux curé de village, paix à son âme.
Les attentats, c’est que pour la gueule des ploucs.
C’est tellement évident que ça en devient bizarre..  Je n’ai pas de réponse, mais tous ces gens vont, viennent ont des activités privées. Il serait facile pour un relai dormant « inconnu des fichiers de police » l’air tout à fait innocent avec une fausse carte de pompier, de presse, que sais-je d’aller se kamikaser à l’Assemblée Nationale, par exemple.. L’armée du djihad abondamment arrosé par nos amis du désert a les moyens de monter les scénarii qu’il veut. Il a bien réussi le coup du camion tueur dans une ville truffée de caméras et sur un boulevard interdit à la circulation ! 
Et bien non ! Ça n’arrive jamaisTant mieux pour eux. Mais du coup on se demande si ces surveillances ne sont pas superfétatoires et si les flics sont à la bonne place.
Peut-être aussi que nos morts ont beaucoup moins d’importance que leurs vies. Je vous laisse trouver la réponse.
Galadriel

Image : Le Parisien/SM.