Le
1. De la banque éthique à la définition de la monnaie.
– La Nef :( siège Vaulx en Vélin) trois objectifs, le financement des énergies durables, de l’agriculture biologique et du secteur culturel.
– Ne spécule pas et publie tous les emplois de l’argent collectée.
– Approche nouvelle d’une définition de la monnaie : un actif/passif.
– Les opérations de marché des changes une contradiction avec la double nature de la monnaie.
– Quand la monnaie devient marchandise sous l’effet du marché des changes.
– L’invention des produits dérivés.
– Quand la Deutsche Bank perd le modèle rhénan et tombe sous la coupe des traders, 70000 milliards d’euros de produits dérivés !
– La fable du troc, la monnaie plus ancienne.
2. La monnaie, une affaire d’être ensemble et non d’avoir.
– Un peu d’histoire, de Sumer à l’Indus : une norme internationale précoce.
– L’étymologie de monnaie en débat. Les manuels d’enseignement en question.
– Une fonction collective, la monnaie comme institution.
– Introduction du métal précieux et « seigneuriage » médiéval.
– La funeste course à l’or.
– Le QE de la BCE effets stériles.
– Les banques loin de leur cœur de métier.
3. Quelques pistes de solution.
– La fonction du système bancaire doit être recentrée sur la liquidité.
– Les justifications du taux d’intérêt, le contresens sur le loyer de l’argent.
– L’assurance sur le risque d’impayé justifie le taux plus le coût des infrastructures bancaires mais pas le temps.
– Restaurer la monnaie comme institution, ne pas casser la structure binaire de la monnaie.
– Créer une instance internationale de « translation » de monnaie à monnaie pour éviter la spéculation.
– Création d’un registre qui permet de maintenir le critère de performance des économies.
– Justice pour le tiers monde qui en achetant des dollars paye deux fois.
Conclusion. Suppression, par ces moyens, de 98 % des mouvements spéculatifs des capitaux.