L’ « écolo » auto-proclamé Nicolas Hulot, VRP des multinationales qui financent sa fondation. Il nous a tous fait rêver le Nicolas, avec son émission Ushuaïa. la réalité est toute autre et, il va servir de garant aux pires mondialistes « pro » tout ce qui pollue, atomise, pille et fait des profits faramineux sous fond de scandales en tous genres… Merci Christine G.
Pourtant, l’animateur de télévision et « écologiste » autoproclamé a pu constater en 2007 que les plus belles promesses ne valaient rien : la farce sarkozyste du « Grenelle de l’environnement » s’est achevée par un cinglant « L’environnement, ça commence à bien faire » !Dix ans plus tard, M Hulot va à nouveau servir de caution à un Président de la République dont les actes ou intentions sont sans ambigüité : »Soutien au projet nucléaire d’Hinkley Point, permis de recherche de gaz de schiste, autorisation de l’extraction de sable à Lannion, accord très favorable aux sociétés autoroutières, encouragement à l’exploitation minière en Guyane, amendement législatif sur les déchets nucléaires à Bure (…), industrialisation agricole » (Reporterre, 9 mai 2017).Quant au Premier ministre Édouard Philippe, l’Observatoire du nucléaire a mis en exergue dès sa nomination sa compromission dans les coulisses radioactives de la Françafrique lors de son passage chez Areva (2007-2010).Il est d’ailleurs notable que, pour sa communication, M Philippe a débauché un de ses amis de chez Areva, Charles Hufnagel, artisan de la désinformation d’Areva en particulier pendant l’ère Lauvergeon, tentant de cacher le plus longtemps possible le désastre du chantier EPR de Finlande, l’affaire de corruption « Uramin », l’avion offert au Président du Niger, et finalement la faillite d’Areva…Nicolas Hulot va-t-il cautionner la prolongation à 50 ans de la durée de vie des réacteurs nucléaires ? Après tout, malgré ses belles paroles, l’animateur d’Ushuaïa n’a finalement jamais levé le petit doigt contre l’atome, pour le plus grand plaisir d’EDF, un des plus importants sponsors de la fondation Hulot…De même, Nicolas Hulot va-t-il cautionner la mise en service de la cuve de l’EPR de Flamanville, cuve que l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) s’apprête à valider malgré les graves malfaçons qu’elle présente et qui vont démultiplier le risque d’accident nucléaire ?Par ailleurs, Nicolas Hulot va-t-il cautionner les méthodes de voyous utilisées par Enedis et ses sous-traitants pour imposer le compteur malfaisant Linky aux innombrables citoyens qui n’en veulent pas ?Les réponses à ces questions seront apportées dans les semaines et mois à venir, mais personne de sérieux ne peut croire aux belles promesses du banquier Macron et du nucléariste Philippe.Dans tous les cas c’est une politique anti-écologique (en plus d’être anti-sociale) qui va être mise en oeuvre, avec la caution « écologiste » de celui qui, finalement, n’aura cessé d’être le meilleur VRP des multinationales les plus polluantes, à commencer par EDF et ses centrales nucléaires…Source l’Observatoire du Nucléaire
Rétrospectives sur les positions changeantes de N. Hulot. Merci Verisheep
19 Mars 2013: Linky, enfin de l’intelligence collective !Il faut « accélérer la mise en œuvre des compteurs intelligents et communicants », c’est l’une des propositions de la Fondation Nicolas Hulot pour alimenter le débat sur la transition énergétique. Pour cette organisation, il s’agit non seulement de faciliter l’intégration des énergies renouvelables mais aussi de permettre la « réduction de la facture énergétique des ménages et des petits acteurs économiques ».
Le Monsieur nature de TF 1 exploite son image tous azimuts. Un business pour la bonne cause, au prix de quelques entorses à l’écologiquement correct.Qu’y a-t-il de commun entre des gels douches, des sacs à dos, des lunettes de soleil, des serviettes de bain, des pull-overs, une émission de télé à succès, une chaîne diffusée par satellite, un magazine de presse écrite, un jeu de société, des best-sellers et une fondation pour la sauvegarde de l’environnement ? Un homme et un seul : Nicolas Hulot, quinquagénaire depuis le 30 avril, « télécologiste » qui a réalisé l’exploit de faire d’Ushuaia – une ville de 30 000 habitants au nom imprononçable située en Patagonie, dans le sud de l’Argentine – une marque prospère qui n’en finit plus d’être déclinée en produits dérivés.« L’émission « Ushuaïa nature » est coûteuse à fabriquer [1 million d’euros par épisode], explique Hubert Taieb, directeur général adjoint de TF 1 Entreprises, la filiale de la chaîne de télévision qui possède et exploite le label écolo depuis le début des années 90. Il n’est pas anormal que l’on cherche à rentabiliser un investissement aussi lourd. » Résultat : TF 1 a cédé en quinze ans la licence d’exploitation à plus d’une quinzaine de sociétés (L’Oréal pour les cosmétiques, Atol pour la lunetterie, Rhonetex pour les vêtements, Lexibook pour l’électronique grand public, Quo Vadis pour la papeterie…) et cautionné ainsi la commercialisation d’une soixantaine de produits dérivés en France. En jouant, même si la chaîne s’en défend, sur l’identification Ushuaïa-Nicolas Hulot pour les consommateurs.Seule condition à respecter pour les heureux exploitants de la marque aux reflets verts : respecter l’esprit de l’émission de télévision, le navire amiral, à savoir la « naturalité éthique ». Avec plus ou moins de succès ! Si les gels douches Ushuaïa font un tabac dans les linéaires des grandes surfaces, les bâtons d’encens du même nom ont été retirés de la vente fin 2004 après que le magazine Que choisir a révélé qu’ils présentaient un risque cancérigène. Pour éviter que de telles situations se reproduisent, TF 1 finalise une charte d’utilisation pour mettre en place des « obligations en matière de développement durable » qui seront annexées aux contrats de licence. Quoi qu’il en soit, l’opération est plus que rentable : TF 1 estime à… 100 millions d’euros le chiffre d’affaires annuel généré par tous les produits griffés Ushuaïa.
11.2006. Sophie Divry pour decroissance.orgNicolas Hulot, le pacte médiatiqueNicolas Hulot, lors du lancement de son dernier livre, Le pacte écologique, a bénéficié d’un accueil dithyrambique dans les médias. Invité sur France-Inter, à la télévision, en une du Figaro et du Monde, l’animateur de télévision est présenté partout comme un grand défenseur de la cause écologiste. Même nos amis de l’hebdomadaire Politis l’acclament en une sous le titre « Le croisé de la décroissance », alors qu’il s’est toujours déclaré étranger à cette idée.Face à cette déferlante, il est utile de rappeler quelques faits sur Nicolas Hulot. Comment gagne-t-il sa vie ? Quelles sont ses activités ? Qui sont ses amis et soutiens ? Et surtout, quelles sont ses idées ? Bref, pourquoi le télé-écologiste aux discours inoffensifs et aux actions timides est un parfait « produit médiatique » ?Nicolas Hulot est animateur de télévision, présentateur de l’émission « Ushuaïa » depuis 1987. Pour ses quatre émissions annuelles, l’homme de télé est rémunéré la modique somme de 30 000 euros par mois (1). Il faut ajouter à cela les droits d’auteur qu’il touche pour ses ouvrages (Le Syndrome du Titanic s’est vendu à 160 000 exemplaires) et un pourcentage sur les ventes des livres et des DVD Ushuaïa.Mais plus qu’une émission de télé à grande audience, Ushuaïa, c’est un label « 100 % rentable » décerné par TF1 à des produits dérivés, comme le raconte l’enquête du journal économique L’Expansion : « TF1 a cédé en quinze ans la licence d’exploitation à plus d’une quinzaine de sociétés (L’Oréal pour les cosmétiques, Atol pour la lunetterie, Rhonetex pour les vêtements, Lexibook pour l’électronique grand public, Quo Vadis pour la papeterie…) et cautionné ainsi la commercialisation d’une soixantaine de produits dérivés en France. En jouant, même si la chaîne s’en défend, sur l’identification Ushuaïa-Nicolas Hulot pour les consommateurs. TF1 estime à… 100 millions d’euros le chiffre d’affaires annuel généré par tous les produits griffés Ushuaïa (1). »
Un business orchestré par TF1Parmi ses produits dérivés, citons un encens déclaré cancérigène par l’UFC Que Choisir, les gels douche en plastique remplis de produits exotiques, et le magazine appelé… Ushuaïa (2). Dans ce magazine, que trouvons-nous ? De belles images de nature, et des reportages poignants sur les bonobos. Entre les deux, des publicités… pour les produits dérivés Nicolas Hulot : lunettes, gels douche, et DVD. Dans le premier numéro du magazine, sur les 10 premières pages, 7 sont des publicités. Se servir de l’émotion suscitée par la crise écologique pour pousser à la consommation, il fallait oser. Plus fort encore,…/…
Je n’ai pas eu le temps de retrouver l’article, mais un commentaire laissé sur le forum France2 « on est pas couché » en 2008 (assertions pas vérifiées) de djoukalo semble aller dans le sens général
Je suis d’accord avec Jean Lassale au sujet de Nicolas Hulot. J’aimerai rajouter quelque chose en rapport avec son « engagement écologique ». Nicolas Hulot, qui possède une propriété dans la région d’Avignon, a commandé un véhicule 4×4, il y a quelques années, chez un concessionaire de la région. Grosse cylindrée, toutes options, le concessionaire (avec lequel j’ai travaillé) m’a avoué n’avoir jamais eu à répondre à une telle commande. Mr Hulot ayant pris toutes les options possibles, en a même demandé certaines qui ne se faisaient que sur d’autres modèles. La voiture faisant l’objet d’une commande hors normes à été construite spécialement en Allemagne (d’où la marque est originaire). Pour un donneur de leçons ayant accès aux médias, je trouve que c’est du « foutage de gueule » de premier ordre.Merci Monsieur Lassale d’éclairer le public sur certains de ces personnages (publics).Alexis
Gouvernement: La nomination de Nicolas Hulot fait chuter les actions d’EDF en bourse. Alors que les actions d’EDF avaient bondi de 7 % mardi à l’annonce de la nomination d’Edouard Philippe…/…