L'actrice Jenny McCarthy évoque la guérison de son fils qui était autiste à cause d'un vaccin
Jenny McCarthy :
C’est
en 2005 que l’on a diagnostiqué l’autisme chez mon fils Evan. Il n’y
a pas le moindre doute dans mon esprit que c’est la vaccination qui a
déclenché l’autisme chez mon fils. Nous le croyons
vraiment parce que nous étions là, et que nous avons pu observer
ce qui s’est passé après que nous soyons rentés de chez le médecin.
Nous avons été
les témoins directs de cette régression progressive d’un enfant qui
avait toujours été en parfaite santé, c’est de nos propres yeux que nous
avons vu que cet enfant s’est éteint petit à
petit.
Journaliste :
L’Académie de pédiatrie et d’autres continuent cependant de dire
qu’il n’y a pas de liens entre les vaccins et l’autisme. Ils continuent
de dire que le risque de ne pas vacciner pourrait même
être pire. Pourriez-vous nous dire pourquoi ces personnes ne sont
guère disposées à reconnaître le lien entre vaccination et autisme ?
Jenny McCarthy : Et
bien, quand on y réfléchit bien, la raison, c’est qu’il y a un énorme business pour les compagnies pharmaceutiques.
Journaliste : Paul
Offit est l’un de ces médecins qui explique que cette crainte des
vaccins est à rechercher dans le pouvoir des anecdotes. Il précise qu’il
est opposé à ces histoires personnelles irrésistibles.
Il précise : nous devons trouver les moyens de rendre la vraie
science plus contraignante et il ajoute : il y a des maladies que l’on
pourrait éviter ; il y a des enfants qui
meurent parce qu’ils ne sont pas vaccinés.
Jenny McCarthy :
Il y
a aussi des gens qui meurent à la suite des vaccins ! Mon fils Evan
était mort devant moi pendant deux minutes…et, on continue à vacciner
contre la rougeole, la grippe…
Ce sont ces
gens-là qui doivent se réveiller et arrêter d’endommager la santé de nos
enfants. Nous ne disons jamais aux gens de ne pas se
faire vacciner.
Est-il vraiment
si difficile de réaliser que ce que nous voulons, ce sont des vaccins
qui ne présentent aucun danger, ainsi que des programmes
de vaccinations beaucoup plus sûrs.
Journaliste : Vous
avez déclaré que votre fils était maintenant guéri de l’autisme, une chose que la communauté médicale déclare impossible.
Jenny McCarthy :
Exact !
Journaliste :
Voulez-vous bien expliquer comment vous avez fait pour qu’il puisse
guérir de l’état dans lequel il se trouvait il y a 2, 3 ans.
Jenny McCarthy :
Oui,
il est bel et bien guéri comme des milliers d’autres enfants. Nous
avons suivi des traitements biomédicaux qui consistaient essentiellement
à changer d’alimentation, à donner des vitamines, des
suppléments alimentaires. Nous avons dû assurer la détoxification du
corps, l’élimination des métaux, du candida. Dans le cas d’Evan, nous
n’avons pas fait de chélation. Nous nous sommes
contentés de faire les autres traitements médicaux, et il a guéri.
La raison pour laquelle la communauté médicale éprouve tant de difficultés à ce sujet, c’est
parce que nous avons traité et guéri un dommage causé par les vaccins.
Personnellement,
je prie pour que les parents puissent reprendre leur pouvoir, qu’il y
ait de
plus en plus d’histoires de personnes qui reprennent leur santé en
mains, comme aussi celle de leurs enfants. Il s’agit ici d’une véritable
révolution.
Journaliste :
N’est-il
pas dangereux de prendre ainsi en charge ses problèmes de santé,
étant donné que techniquement vous n’êtes pas médecin. D’autres parents
qui ont pris les choses en mains ne sont pas non plus
médecins.
Jenny MacCarthy :
C’est exact. – Mais je pense vraiment que les parents doivent
prendre en mains la santé de leurs enfants. Il ne s’agit évidemment
nullement de concocter des médicaments dans sa
cuisine !
Personnellement,
je pense que c’est la cupidité qui a rendu quasi impossible l’évolution
des programmes de vaccination. Combien n’y a-t-il pas
de parents qui, avec ce qui se passe, commencent à crier, à hurler
par ce que c’est la santé de nos enfants qu’ils endommagent.