samedi 27 septembre 2014

Un médecin militaire confirme que le virus Ebola est soignable depuis près de 40 ans (fawkes)

Un médecin militaire confirme que le virus Ebola est soignable depuis près de 40 ans


Cet extrait d'un JT datant du 20 mai 1995 montre bien que l'on se fiche royalement du monde avec cette épidémie Ebola. A l'époque, il y a eu 250 morts sur 315 cas ce qui nous donne une mortalité de 81%. Le médecin nous indique qu'en 1976, Ebola a tué environ 300 personnes (officiellement 280 morts sur 318 cas, soit une mortalité de 88%) et que la maladie s'est éteint d'elle même. L'année suivante, un chercheur a été infecté en laboratoire suite à une erreur de manipulation et il a été sauvé grâce à un sérum développé par des français et des belges.
 Nous voilà 37 ans plus tard, avec près de 3000 morts, des menaces pesantes de pandémie mondiale et des prévisions alarmistes de plus 1,4 millions de cas dès Janvier. Comment se fait-il que l'épidémie s'est éteinte d'elle même dans les années 70 et qu'elle devient une menace mondiale aujourd'hui d'après Obama? Pourquoi nous fait-on croire qu'il n'existe aucun traitement alors qu'il existe depuis près 40 ans?

 On comprend donc qu'ils ont sciemment laissé s'étendre l'épidémie, qu'en réalité on pourrait tout à fait stopper celle-ci mais que ce n'est visiblement pas à l'ordre du jour. Au contraire, nous avons le CDC qui s'évertue à poursuivre les marchands qui communiquent sur des traitements contre Ebola, car ils veulent détenir le monopole total des traitements. Nous avons également à faire à une souche un peu différente car moins mortelle (aux alentours de 50% de mortalité) mais plus contagieuse, une souche très probablement modifiée en laboratoire.



 
Cette vidéo donc bien que cette pandémie 2014 est orchestrée de toute pièce, que l'Afrique de l'Ouest a été choisie pour être la zone de départ de cette épidémie et qu'on y laisse mourir les gens alors qu'un traitement (même plusieurs comme le Zmapp) existent. Il s'agit d'un crime contre l'humanité et apparemment, ça ne fait que commencer.