Encore
un effet contre-productif de plus de la vaccination, décidément, on ne
les
compte plus... en plus d'estropier quantité d'adultes et d'enfants
et de niveller ainsi lamentablement la santé publique par le bas, sur le
plan de la prétendue efficacité également, la
vaccination amène de nouveaux problèmes épidémiologiques. Voilà ce
qui arrive quand de prétendus "experts" prétendent faire mieux que la
Nature avec leurs vraies fausses
solutions!
Coqueluche : la bactérie est en train de muter
Le 29 décembre 2014 à 15h20 - par Catherine
Cordonnier
La
partie de la bactérie de coqueluche que le système immunitaire a appris
à reconnaître grâce au vaccin, est en
train de muter. Ce qui expliquerait pourquoi certains adolescents ou
jeunes adultes sont plus vulnérables face aux épidémies.
Il y a
quelques jours, les autorités sanitaires californiennes annonçaient que
l'épidémie de coqueluche n'avait jamais été aussi
sévère depuis 70 ans. Idem dans le Michigan, l'Indiana et le
Minnesota, trois autres États des États-Unis. Mais c'est de
Grande-Bretagne que la nouvelle est venue : la bactérie de la coqueluche serait en train de muter. Et le vaccin actuel pourrait bientôt perdre de son effet
protecteur.
Selon une étude publiée dans la revue médicale Infectious Diseases (maladies infectieuses), l'analyse des souches de virus
de 2012 montrent que la partie de la bactérie que le système immunitaire a appris à reconnaître grâce au vaccin, est en train de
changer. "Ce qui pourrait avoir des conséquences graves lors de futures épidémies" soulignent les médecins.
Une bactérie qui envahit la sphère respiratoire
La
coqueluche est une maladie infectieuse respiratoire très contagieuse
causée par une bactérie appelée Bordetella
pertussis, qui envahit la sphère respiratoire. Le signe principal de
cette maladie est la quinte de toux qui peut dégénérer en pneumonie. La
contamination se fait par l'air (lors de la toux,
postillons) et par contact avec une personne qui a la coqueluche.
Les risques de complications graves existent surtout chez le nourrisson
de moins de 6 mois.
Actuellement,
la coqueluche est redevenue une maladie fréquente de l'adulte jeune.
Certains chercheurs de l'Université de
Bath (Grande-Bretagne), dirigés par le Dr Andrew Preston, se sont
demandé si l'immunité conférée par le vaccin acellulaire prescrit depuis
2004 (un vaccin qui ne contient pas cellules entières de
bactéries mais des protéines spécifiques de la surface des
bactéries) ne durait pas moins longtemps que celle de la version
précédente du vaccin (avec des germes entiers). Ce qui expliquerait
pourquoi certains adolescents ou jeunes adultes sont vulnérables
face aux épidémies de coqueluche.
Faut-il revenir au vaccin à germes entiers ?
Mais
en poussant leurs recherches plus avant, ils se sont aperçu que les
protéines recueillies sur la surface des
bactéries pour fabriquer le vaccin mutaient à un rythme plus rapide
que les autres cellules non incluses dans le vaccin, rendant le vaccin
moins efficace.
L'une
des options à envisager serait d'inclure dans le vaccin de nouvelles
protéines qui boosteraient le système
immunitaire. L'autre solution étant de revenir au vaccin "ancienne
formule" à germes entiers. Cette version avait été abandonnée car elle
provoquait plus de risques d'effets indésirables mineurs
lors de la vaccination comme de la fièvre, des rougeurs et des
douleurs au bras.
En France, le vaccin contre la coqueluche n'est pas obligatoire mais recommandé pour les nourrissons de moins de 6 mois
ainsi qu'aux jeunes adultes ayant un projet parental et aux jeunes femmes ayant accouché qui ne seraient pas vaccinées.
A lire aussi
Source : Top Santé
A noter aussi (de très intéressant!) dans l'article ci-dessus, l'auto-censure habituelle de la presse quand elle évoque comme possible "solution" de retourner au vaccin dit à germes entiers - remplacé dans les
pays occidentaux suite à ses effets secondaires neurologiques graves :
"Cette version avait été abandonnée car
elle provoquait plus de risques d'effets indésirables mineurs lors de la vaccination comme de la fièvre, des rougeurs et des douleurs au bras."
Tout journaliste censé
et libre a très facile
de se rendre compte que ces effets mineurs sont associés à tous les
vaccins y compris à tous ceux qui restent en
circulation et que donc, les effets qui ont été à l'origine de ce
changement ne sont pas mineurs mais plus graves mais il doit
s'auto-censurer car il ne fait pas bon rappeler le désastre des
vaccins dans une situation de frénésie vaccinatoire telle qu'on
vaccine maintenant même ... les femmes enceintes aussi contre la
coqueluche!