Jovanovic
ven., 16 jan. 2015
ven., 16 jan. 2015
Je vous l'avais annoncé et décrit pendant 3 ans, la guerre entre la JP Morgan et la Goldman Sachs, précisant que Blythe Masters était celle qui posait le plus de problèmes à la Goldman. Avec la vente du département matières premières de Blythe à Mercuria (une filiale indirecte de la GS), la JP Morgan avait perdu la guerre. Et maintenant Goldman veut la finir à coups de batte de base-ball et l'a fait savoir avec un communiqué des plus officiels !!!
Dingue !
C'est votre serviteur qui a eu raison contre tous les analystes de Wall Street...
Sous prétexte de capitalisation insuffisante, Goldman suggère de diviser la Morgan en 4, rien que ça, MDR. Après, il ne restera plus qu'une seule grande banque d'affaires dans le monde, la Goldman, à qui il ne faudra qu'installer un des siens à la tête de chaque pays via sa Banque Centrale : - )
"Our analysis inicates that even accounting for lost synergies, a JPM breakup would be accretive to shareholders in most scenarios. That said, breaking up a company of JPM's size into 4 pieces (all of which would still be very large financial intuitions) would carry considerable execution risk. An inability to return excess capital or a lack of multiple re-rating could likewise meaningfully reduce potential upside". Lire ici entre autres ZH afin de rire un peu. En ce moment l'humour est manquant. Heureusement il nous reste les grosses ficelles de la Goldman Sachs.
Dingue !
C'est votre serviteur qui a eu raison contre tous les analystes de Wall Street...
Sous prétexte de capitalisation insuffisante, Goldman suggère de diviser la Morgan en 4, rien que ça, MDR. Après, il ne restera plus qu'une seule grande banque d'affaires dans le monde, la Goldman, à qui il ne faudra qu'installer un des siens à la tête de chaque pays via sa Banque Centrale : - )
"Our analysis inicates that even accounting for lost synergies, a JPM breakup would be accretive to shareholders in most scenarios. That said, breaking up a company of JPM's size into 4 pieces (all of which would still be very large financial intuitions) would carry considerable execution risk. An inability to return excess capital or a lack of multiple re-rating could likewise meaningfully reduce potential upside". Lire ici entre autres ZH afin de rire un peu. En ce moment l'humour est manquant. Heureusement il nous reste les grosses ficelles de la Goldman Sachs.