Comment empêcher que le nombre de pauvres ne prennent trop d’ampleur? En les stérilisant. Une aberration, une véritable folie qui revient à lutter contre l’humanité elle-même. Et la lutte contre celle-ci n’est pas nouvelle, ce qui est nouveau, c’est de financer la stérilisation de masse qui malheureusement ne peut être niée non plus comme nous le montrent les articles éjà publiés dans les médias. En Indes, les femmes acceptant de se faire stériliser sont récompensées avec un pactole mirobolant de 1400 roupies, soit 18 euros comme nous le rappelle le journal 20minutes dans un articles sur les stérilisations de masse, dans le Rajasthan, toujours suivant un article de 20minutes, ils ont même organisé une loterie avec une voiture Nano à gagner (la moins chère de la planète, 3000 euros) pour inciter les femmes à se faire stériliser. Au Kenya, un agent stérilisant a été trouvé dans les vaccins contre le tétanos. Et si l’on se réfère à l’encyclopédie en ligne Wikipedia qui vaut ce qu’elle vaut, l’on peut y trouver nombre de renseignements et de références sur le sujet:
Au Canada:
Deux provinces canadiennes, l’Alberta et la Colombie-Britannique, ont aussi mis en place de tels programmes, à des fins eugéniques, comparables au programme américain (à l’exception du versant pénal, concevant la stérilisation en tant que châtiment, qui n’existait pas au Canada). La province d’Alberta vota l’Alberta Sexual Sterilisation Act (Loi d’Alberta de stérilisation sexuelle) en 1928. Entre 1928 et 1972 environ 3 000 stérilisations ont été opérées, de manière obligatoire ou prétendument « volontaire », sur des individus d’âges et d’ethnies différents. La loi de 1928 n’autorisait la stérilisation qu’en cas d’accord du sujet ou de son tuteur, en fonction de la compétence de celui devant effectuer l’opération. Un amendement de 1937 autorisa la stérilisation forcée des handicapés mentaux, sans leur accord ni celui de leur tuteur. La province d’Alberta accrut encore l’ampleur de son programme de stérilisation après la Seconde Guerre mondiale. En 1972, date de clôture du programme, cinquante personnes avaient été opérées de force.Les femmes, les jeunes et les minorités formaient la majorité des cibles du programme. Les mineurs étaient souvent considérés comme « handicapés mentaux », ce qui les plaçait sous la dépendance d’adultes, et les privait donc de leur consentement.Les métis et les Amérindiens ont été largement visés, quel que soit leur âge par ailleurs (formant 2,5 % de la population, ils représentaient 6 % de la population détenue dans des institutions psychiatriques, et, à la fin du programme, 25 % des victimes). On leur imposait souvent le statut de « déficient mental », les privant de droits civiques et les assujettissant à la stérilisation contrainte. Les femmes, en particulier jeunes, pauvres et célibataires, formaient aussi une grande partie des victimes ; on les soupçonnait de prostitution ou, à tout le moins, de mauvaises moeurs, actes qui favoriseraient, selon les théories en vigueur, la « dégénérescence » morale. Si leur sort personnel était considéré comme au-delà de toute rédemption, du moins n’auraient-elles pas de progéniture « décadente ».
Aux Etats-Unis:
Les États-Unis ont été le premier pays à mettre en place un programme officiel de stérilisations contraintes, dans le cadre d’une idéologie eugénique alors en vogue, représentée par Madison Grant et d’autres. Ils ont stérilisé contre leur gré plus de 64 000 personnes des années 1900 aux années 1970. Le programme visait d’abord les retardés mentaux et personnes sujettes à des troubles psychiques. De plus, certains États visaient aussi les sourds, les aveugles, les épileptiques et les victimes de malformations congénitales. En outre, les Amérindiens ont aussi été victimes du racisme d’État, et nombre d’entre eux ont été stérilisés contre leur gré, sans même en être informés, lors de séjours en hôpital (en maternité, etc.)[réf. nécessaire]. D’autres stérilisations, à une moindre échelle, ont eu lieu en prison et dans le cadre pénal, en visant la criminalité. Au total, plus de 65 000 personnes ont été stérilisées dans 33 États différents dans le cadre de programmes semblables.
Israël:
Entre 2000 et 2005, le gouvernement Israélien a reconnu avoir procédé à l’injection forcée de Depo-Provera (acétate de médroxyprogestérone), un contraceptif, sur des milliers de femmes éthiopiennes juives, les Falashas. Ces injections étaient conditionnés à l’autorisation d’entrée sur le territoire et étaient masqué sous le nom de « vaccin ».
Au Pérou:
Au Pérou, le président Alberto Fujimori (1990-2000) a été accusé de génocide et de crimes contre l’humanité en raison du programme de stérilisation mis en place24. Le Pérou avait alors mis en place un programme de stérilisations forcées contre des Amérindiennes (essentiellement des Quechuas), au nom d’un « plan de santé publique », présenté le 28 juillet 1995. Le plan était financé principalement par l’USAID (36 millions de dollars) et, loin derrière, le Fonds de population des Nations Unies (UNFPA). Le 9 septembre 1995, Fujimori présente un projet de loi modifiant la « loi générale de la population », afin d’autoriser la stérilisation. Des méthodes de contraception sont aussi légalisées, toutes sortes de mesures auxquelles s’opposent fortement l’Église catholique ainsi que l’Opus Dei. En février 1996, l’OMS elle-même félicite alors Fujimori pour son plan de contrôle démographique.
Suède:
Des années 1930 aux années 1970, la Suède a stérilisé 62 000 personnes sur une population totale de plus de six millions d’habitants. La stérilisation était une condition préalable pour pouvoir conserver la garde des enfants, toucher une aide sociale, ou être libéré de prisons ou d’institutions psychiatriques. Actif principalement des années 1930 jusqu’au milieu des années 1950, bien qu’il continuât par la suite, ce programme eugénique souleva la polémique en 1997. La législation eugénique fut votée en 1934 et abolie en 1976. Une enquête gouvernementale publiée en 2000 estima que 21 000 personnes avaient été stérilisées de force, 6 000 stérilisées avec un accord formel (qu’on ne pourrait pas considérer comme « consentement éclairé »), tandis que les motifs de 4 000 autres cas de stérilisation restaient indéterminés. L’État suédois paya par la suite quelques indemnités aux victimes.
Nombre de pays sont concernés, même la Suisse. Vous pourrez trouver plus de détails et l’ensemble des références directement sur la page Wikipédia est dédie au sujet, survolant même les faits de stérilisations dans d’autres pays:
Parmi les autres États ayant instauré de telles pratiques, on compte l’Australie, la Norvège, la Finlande, l’Estonie, la Slovaquie, l’Islande, et quelques pays d’Amérique latine (dont le Panama). Au Royaume-Uni, le secrétaire d’État (Home Secretary) Winston Churchill mit en place une clause instaurant la stérilisation contrainte dans le Mental Deficiency Act de 1913. Mais l’écrivain G. K. Chesterton mena une campagne victorieuse pour son abolition.Au Japon, de telles pratiques, ainsi que parfois des avortements contraints, ont été menées dans les colonies de lépreux, longtemps après que des traitements médicamenteux contre la lèpre furent découverts. Un certain nombre de témoignages font aussi écho d’infanticides.L’Union soviétique imposa la stérilisation forcée à des ouvrières déportées de Roumanie dans des camps de travail après la Seconde Guerre mondiale (alors que la Roumanie devait fournir de la main-d’œuvre à la Russie, selon une clause de la convention d’armistice. La Tchécoslovaquie stérilisa de force des Gitanes entre 1973 et 1990. Bien que la politique ait été officiellement abolie après 1990, certains médecins continuèrent ce programme (la dernière victime recensée a été stérilisée en 2003).L’Inde et la Chine ont aussi mis en place des programmes de stérilisation à des fins de contrôle démographique, mais il n’y a que cette dernière qui ait invoqué de possibles motifs eugéniques. L’état d’urgence proclamé en Inde entre 1975 et 1977 comprenait un volet planning familial commençant en avril 1976. Dans ce cadre, la vasectomie et la ligature des trompes ont été commises sur des milliers de victimes, soit de force soit contre de l’argent. On accusa principalement Sanjay Gandhi, le fils de la Premier ministre Indira Gandhi, d’un programme considéré comme un échec.Récemment, des cas de stérilisations forcés auraient lieu au Mexique.
Si la voix de la Russie a dénoncé la stérilisation de masse à des fins eugénistes par les Etats-Unis, ce n’est pas en oubliant que la Russie elle-même a également des précédents, mais pour souligner que les Etats-Unis ont fait ce choix à grande échelle et impose cela à d’autres pays sur la planète.
En 1989 une étude Memorandum-200, œuvre du conseiller à la sécurité nationale américaine Henry Kissinger datant de 1974, a été rendue publique. L’étude était consacrée à l’augmentation de la population dans le monde et aux conséquences que celle-ci pourrait avoir pour la sécurité des Etats-Unis et des intérêts américains dans le monde.En guise de solution le Memorandum-200 proposait de réduire la population des pays en développement ce qui permettrait aux Etats-Unis d’accéder aux ressources naturelles de ces derniers.Le plan secret de Kissinger a été immédiatement mis en œuvre. Dans les années 1980-1990 la stérilisation est devenue le moyen de contraception le plus populaire en Amérique latine. Plusieurs organisations et agences proposaient la stérilisation mais seulement quelques-unes étaient brésiliennes. Fédération internationale de planification familiale, Pathfinder Fund américain, Association pour la contraception chirurgicale volontaire — toutes les organisations opéraient sous l’égide de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID). En 1989 le gouvernement brésilien, jadis fervent partisan du programme de stérilisation ayant pour l’objectif affiché la lutte contre la pauvreté, a déclaré que ce programme était devenu « excessif et superflu ». Selon certaines données presque 90% de femmes brésiliennes d’origine africaine ont été stérilisées dans le cadre de ce programme.Depuis 2011 une vaste campagne de stérilisation a été lancée au Rwanda en visant 700 000 hommes. S’étalant sur trois ans, elle est intégralement financée par l’USAID. La campagne est certes volontaire mais « à chaque fois qu’une campagne de stérilisation a des dimensions considérables, elle aboutit à une coercition », fait remarquer le président de l’Institut américain de recherche sur la population (Population Research Institut) Steven Mosher. Il considère que « les conséquences pour la vie familiale et le développement économique du Rwanda seront assez tangibles » et qu’il s’agit du « meilleur moyen » de prévenir le SIDA. Il oublie cependant que les lois américaines interdisent à financer des avortements forcés et des stérilisations.Il ne s’agit que des plusieurs exemples de ce qui se passe un peu partout dans le monde. Dans une guerre pour les ressources la fin justifierait les moyens surtout si l’augmentation de la population compromet l’avenir économique des pays développés, dirait Kissinger. Mais il ne faut pas oublier que la stérilisation forcée est constitutive d’un crime contre l’humanité, si elle est pratiquée de façon importante et systématique. Ses auteurs devront alors être jugés par la Cour pénale internationale.Source: La voix de la Russie
Il y a également un fait à ne pas négliger, c’est que si vous ne passez pas sous le bistouri d’un médecin eugéniste pourtant soumis au serment d’hypocrite d’Hippocrate, vous n’êtes pas pour autant hors de danger, la stérilisation peut également passer via un autre moyen: l’alimentation qui vous est vendue chaque jour:
LA SURVIE de l’espèce humaine est-elle menacée par les produits chimiques qui ont envahi notre vie quotidienne ? C’est l’hypothèse défendue par de plus en plus de scientifiques du monde entier. Après avoir refait leurs calculs des dizaines de fois, ils ont tous fait le même constat alarmant : depuis cinquante ans, la production de spermatozoïdes, chez l’homme, a diminué de moitié et le nombre de cancers des testicules a augmenté d’autant en vingt ans en France.Au banc des accusés : les pesticides, phtalates, bisphénol… des substances chimiques présentes quasiment partout et qui, selon de nombreuses études, agissent directement sur notre organisme en perturbant notre système hormonal.
La réalité est tellement inquiétante que la secrétaire d’Etat à l’Ecologie a préconisé hier des mesures de précaution pour les femmes enceintes et les jeunes enfants.* Dans les jouets et les crèmes hydratantes. Accusés de mettre en danger le système reproducteur masculin, les phtalates sont des additifs couramment utilisés pour assouplir les matières plastiques. Il y en a dans le film alimentaire et les emballages comme les bouteilles de lait, mais aussi dans les crèmes cosmétiques, les déodorants, le savon, où ils améliorent la pénétration du produit dans la peau… Depuis 2005, six de ces phtalates sont interdits par l’Union européenne dans les jouets. Les grands fabricants, comme Playmobil, Lego, Mattel, Chicco, Vulli ou Smoby, les ont bannis de leurs modèles.* Dans les biberons et les bouteilles d’eau. Un vulgaire tube à essai est à l’origine de cette découverte par des techniciens de laboratoire. Ils se sont aperçus qu’il avait la capacité de faire se multiplier les cellules cancéreuses ! Le plastique contenait en fait un élément qui agissait comme des hormones, le bisphénol A. Cet oestrogène synthétique est utilisé pour concevoir le polycarbonate des bouteilles en plastique et des biberons. Au printemps, le Canada l’a classé comme substance toxique. Mais les Etats-Unis et l’Europe ne l’estiment pas dangereuse car les doses utilisées sont très faibles. Des biberons sans bisphénol sont désormais disponibles sur Internet sous les marques Green to Grow ou Medela (www.brindilles.fr) et dans les magasins bio.* Même à des doses très faibles. Diffusé mardi prochain à 21 heures sur Arte, « Mâles en péril », un documentaire choc, fait froid dans le dos et les arguments présentés par les scientifiques risquent de provoquer une vive réaction chez les industriels. « Leur thèse consiste à dire que les doses de produits utilisés sont si faibles qu’elles sont inoffensives, explique Thierry de Lestrade, coauteur du film. Mais les scientifiques que nous avons rencontrés estiment que même des doses très faibles de produits chimiques peuvent avoir des effets très puissants, notamment lors de la construction du foetus ou lorsqu’on y est exposé sur une longue période. »Source: Le Parisien
Et dire que certains en sont resté à l’eugénisme du régime nazi….
Et pour ceux qui aimeraient des noms, je vous en donne un de très connu et d’actuel quand à la stérilisation des masses: Bill Gates: