vendredi 30 mars 2012

Terraferma d'Emanuele Crialese

Sur une petite île italienne, les habitants, qui vivaient uniquement de la pêche, ne survivent maintenant que grâce au tourisme. Les images sont belles et le réalisateur insiste sur les contraires, avec, par exemple, les prises de vue au dessus et au fond de la mer, les paysages vues de loin ou de haut, et le carré de sable de la plage.  Quand la relative quiétude des insulaires est troublée par l'arrivée de clandestins, chacun va se révéler aux autres mais surtout à lui même. Le film nous montre les évènements à travers le regard de chacun des personnages, et selon la distance qu'il veut, ou qu'il peut y mettre, distance physique et émotionnelle. Les situations sont mises en parallèle et il est alors facile de comprendre les différences de points de vue, mais aussi la disparité dans les conditions humaines. L'image la plus marquante est celle de ce radeau surpeuplé transportant des clandestins morts de fatigue, de faim et de soif, se jetant à l'eau avec l'espoir de survivre, et le bateau, surpeuplé lui aussi, mais transportant, en musique, les nombreux touristes qui dansent et font la fête, et qui plongeront eux aussi, mais pour le plaisir et l'agrément. Mais ce film ne porte pas un jugement, il présente les faits, tels qu'ils sont, avec sensibilité et honnêteté, en laissant toute liberté à chaque spectateur.

L’ARROGANCE DU SHOW BIZZ

L’ARROGANCE DU SHOW BIZZ   (Conscience Citoyenne Responsable)


Quelle est la légitimité de Florent Pagny pour dire à Philippe Poutou lors de l’émission « on n’est pas couché » : « travailler 32H, ce n’est pas possible pour tout le monde, moi je fais beaucoup plus ! » Ce monsieur fait donc plus que 32H par semaine, mais 32H de quoi ? D’écrire des chansons, de jouer avec des musiciens, de passer à la télévision ou de donner des concerts ? Bref de faire sa passion, de nombreux français s’ils pouvaient vivre grassement de leur passion ..... lire la suite http://2ccr.unblog.fr/2012/03/28/l%e2%80%99arrogance-du-show-bizz/#more-1791


« L’argent pollue toute chose et dégrade inexorablement la personne humaine »…A.EINSTEIN

mercredi 28 mars 2012

Surmenés, surveillés, surchargés : le quotidien de 8 millions de salariés


Intensification du travail, surveillance accrue des salariés par leur hiérarchie, pénibilités physiques toujours très présentes... Tels sont les enseignements de la nouvelle étude sur l’exposition aux risques professionnels que vient de publier le ministère du Travail. Elle révèle un accroissement des situations de « tension au travail » dans un contexte où le Medef, au nom de la compétitivité, cherche à remettre en cause nombre de dispositions du droit du travail.

Lire la suite http://www.bastamag.net/article2231.html

jeudi 15 mars 2012

V pour Vendetta - Vi veri veniversum Vivus Vici - L'Amour avec un grand A



"L’Amour avec un grand A est à la source de tous les autres amours et il les contient tous." (extrait de V pour Vendetta - Vi Veri Veniversum Vivus Vici)
Vous êtes nombreux, chers lecteurs, à me poser des questions sur cet Amour avec un grand A.  Bien évidemment, nous connaissons tous  l'amour, pour un enfant pour un compagnon ou une compagne, pour ses parents. Ce ne sont que des parties de l'Amour avec un grand A. Souvent, dans notre formation spirituelle, nous nous égarons en pensant le connaître alors que nous n'avons accès qu'à une infime parcelle. D'autres fois, nous prenons conscience de notre erreur, et nous nous éloignons quand même de la vérité en essayant de reconstituer le puzzle. A chaque fois nous avons raison et nous avons tort. Nous avons raison en cherchant l'Amour dans la particularité et dans l'ensemble, car il est toujours là. Nous nous trompons quand nous oublions que l'Amour est source, et que chaque fois que nous entrons dans la manifestation, nous nous séparons de cette source.
Dans le même texte, vous trouverez aussi cette petite phrase : "L’amour Est, tout simplement."
En savoir plus sur V pour Vendetta - Vi Veri Veniversum Vivus Vici :

mercredi 14 mars 2012

PROMOTIONS LIVRE V pour Vendetta - Vi Veri Veniversum Vivus Vici

PROMOTIONS
Jusqu'au 15 avril 2012 et dans la limite des stocks

 8€50
 frais de port gratuits



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dimanche 11 mars 2012

"La confrérie du cobra" - Chasser la peur

Voici un extrait de « La confrérie du cobra », tome 2 de la suite « Kumpiy le livre sacré ". Il revit dans un doux nuage, le visage de sa mère, il entendait sa voix. « La peur, mon fils, est un poison redoutable qui entre en nous. Elle nous détruit en nous paralysant ou en nous suggérant les mauvaises actions. Respire fort pour qu’il n’y ait plus de place pour elle ». Alors, Michel respira lentement et profondément comme quand il était petit. Comme quand il était enfant, il imagina la peur chassée par l’air nouveau qu’il inspirait, un air chargé de courage et de détermination.
Vous me demandez s’il y a là, une technique à employer. C’est une technique toute simple en effet. Rappelez-vous chers lecteurs, que plus une technique est simple, plus elle est rapidement mise en pratique, et moins elle sera l’objet de l’envahissement d’autres pensées qui pourraient la perturber. En prenant une forte respiration, vous devez être concentré sur cet air qui entre en vous, de façon à vous détournez de la pensée de peur. Car cette pensée de peur naît comme un petit pois et finit par devenir un énorme rocher.
Mais la technique n’est rien. Le plus important est d’abord de repérer, en soi, cette peur. Il y a des peurs faciles à voir, mais il y en a d’autres qui s’insinuent en vous et que votre conscient refuse d’appeler par son vrai nom.
Sur ce sujet, je vous engage à lire ou relire le chapitre « prendre conscience des peurs », page 41, de « Kung Fu Panda, et la puissance du croire » publié dans la « collection de l’œil à l’Être ».

jeudi 8 mars 2012

Mouseland -

Le livre sacré tome 1 - Toute voie religieuse est bonne et n'est pas une fin en soi

« L’humanité devra alors comprendre que toute voie religieuse est bonne mais qu’elle n’est pas une fin en soi. Chacune peut nous permettre de parvenir à La Connaissance". » Phrase tirée de « Kumpiy le livre sacré », tome 1, « L’œil et le cobra ».
Cette phrase engendre beaucoup de questions, chers lecteurs ! Il n’y a pas de religions qui ne soient meilleures que les autres. La religion, peu importe laquelle, est un chemin qui peut nous mener vers notre divinité, vers un soi-même intérieur. Elle est un guide, et nous naissons auprès de celle qui devra nous permettre de progresser au mieux.
Mais bien entendu, beaucoup en font un but, une règle et des rites qu’il faut suivre sans réflexion. La parole ou l’écrit devient une vérité à admettre, alors qu’elle devrait susciter un questionnement fécond, un doute aussi, non le doute catégorique qui amènera au classement en vrai ou faux,  mais le doute sur la signification profonde des mots, le doute sur notre capacité à comprendre le message, à s’approcher du « vrai ». Car il est tellement simple pour chacun de nous d’interpréter dans le sens qui arrange nos ego.
Je vous entends déjà, chers lecteurs, me parler des guerres de religions, mais ces guerres-là n’ont de religieuses que le nom, ce sont des luttes de pouvoir qui se sont trouvé des prétextes. Vous me parlerez ensuite de ceux qui tuent au nom de Dieu, mais ces fanatiques, même quand ils en meurent, ne cherchent que la gloire ou la vengeance. Vous me citerez les pays colonisés et évangélisés de force, mais en y regardant bien, on verra dans les meurtres, la peur de l’inconnu ou la soif de conquête de vastes territoires et de trésors fabuleux.
La religion doit nous permettre de nous libérer de la domination de l’ego, et donc des guerres et de la violence. Mais, chers lecteurs, quand vous saurez cela de l’intérieur, seule comptera la connaissance que vous reconnaîtrez comme universelle. La particularité d’une religion vous semblera alors totalement inutile.

mercredi 7 mars 2012

La jeune fille de l'eau - Notre vie a un sens - Voir les signes

La jeune fille de l'eau - Notre vie a un sens - Voir les signes
J’en conviens, il n’est pas facile de voir les signes, car pour cela il faut toujours être à l’écoute, il faut toujours être prêt à entendre l’information. Nous recevons des milliers de signes. Après coup, ils nous apparaissent comme de  petits événements dans nos vies. Mais croyez-moi chers lecteurs, ils nous semblent insignifiants parce que nous donnons trop d’importance à la « programmation raisonnée » de notre vie matérielle. Les signes nous guident sur le chemin de notre évolution spirituelle, ils nous montrent le chemin du projet de vie auquel nous avons souscrit avant de nous incarner. Tout devient compliqué quand ils se mêlent aux messages de l’ego dont le travail est de nous protéger, ou plutôt de protéger ce corps dont nous avons besoin pour expérimenter les connaissances spirituelles. Le plus souvent l’ego prend la main, et nous oublions le chemin du cœur. La solution réside dans l’équilibre si difficile à trouver. Toute initiation consiste à acquérir la maîtrise ; la maîtrise d’un art, d’un métier, etc. Pour l’initiation spirituelle, il s’agira de reprendre les rênes de sa vie dominée par l’ego, un ego qu’il ne faut pas anéantir mais apprivoiser.

Clip de l'union européenne, effarant !

dimanche 4 mars 2012

Zarafa Réalisé par Rémi Bezancon et Jean-Christophe Lie

Un très joli conte plein d'émotion, de gravité et d'humour. Les images sont belles et les personnages attachants. L'histoire a aussi un aspect pédagogique intéressant. Maki est tout petit, mais il a un grand coeur. Il s'engage et fera tout pour tenir ses promesses. Un moment très agréable dans cette salle de cinéma pleine d'enfants attentifs mais aussi une salle pleine d'éclats de rire. Zarafa c'est une belle histoire, mais c'est aussi un voyage dans le temps et dans de beaux paysages.
Un film à recommander pour les petits et les grands.