lundi 25 octobre 2010

vendredi 22 octobre 2010

Un site à consulter

Cet article,  par exemple, a été écrit en 2008
Et rien n'a changé sous le soleil!!!

http://www.toupie.org/Textes/Bouc_emissaire.htm

élévation spirituelle et problèmes de société

Oui chers lecteurs, mes livres parlent de spiritualité, mais ils portent aussi un regard sur notre société. Votre étonnement vient du fait que l'on nous fait croire, que l'on ne peut mêler les deux. Dans l'esprit de beaucoup de gens, n'est spirituel que celui qui s'éloigne du monde, ou qui passe des heures dans la position du lotus. L' esprit est partout et je ne crois pas qu'il soit nécessaire de lui fermer la porte parce que nous nous rendons au travail. Chacun a son rôle, chacun apprend comme il le sent, et les façons de vivre sa spiritualité sont multiples. On peut avoir une vie trépidente et parvenir à des moments intenses de communion avec soi-même, même si ces moments ne durent que quelques minutes. On peut passer des heures, les yeux levés au ciel, sans jamais obtenir une seule seconde de véritable paix intérieure. Le mot : "spiritualité" n'est qu'une coque vide si on ne tente pas de le remplir, de le faire vivre. La Vie avec une majuscule n'est ni artifices, ni attitudes formatées, ni  codes établis.

mardi 19 octobre 2010

Le personnage de Thérèse dans "Coeur de Framboise à la frantonienne"

Tout le monde connaît ou a connu une "Thérèse" dans ses relations de travail. Ce chapitre a été, pour moi, l'occasion de parler de la paresse, car, à première vue, Thérèse est paresseuse. Elle l'est un peu quelque part, mais c'est surtout une manipulatrice. Que constatons-nous dans nos milieux de travail ? Moins on abat de travail, plus on prouve son incompétence, mieux on est considéré et plus on est susceptible de gravir les échelons. C'est déprimant n'est-ce pas ? Et pourtant, c'est tout à fait logique. C'est ce que je démontre dans le chapitre concerné. Cela n'est pourtant logique, que dans ce qu'est devenu notre système, un système basé  sur l'individualisme, sur l'égocentrisme. La conscience du groupe n'y existe pas, l'envie de construire, de réussir ensemble non plus. Chacun regarde au bout de son nez ou contemple son nombril, sans chercher à comprendre que la communauté poursuit, à terme,  une logique destructrice dont chacun reportera la faute sur l'autre. Seuls une minorité en tire bénéfice, un bénéfice pécunier immédiat, gonfflant un ego qui ne demande que cela. Pourtant ce bénéfice n'en est pas un, car il est acquis grâce à un accord tacite d'emprisonnement.
Rappelez-vous, chers lecteurs, que la plus grande liberté s'acquiert en restant soi-même.

lundi 11 octobre 2010

"Croire" et "avoir la foi" c'est la même chose ?

Dans Kung Fu Panda et la puissance du "croire", je fais la différence entre "croire" et "avoir la foi". Pourtant,  dans ce film, quand Oogway demande à Shifu de "croire", il lui parle bien de foi. Dans l'absolu, l'un est égal à l'autre. Pourtant, en examinant de plus près les deux termes,  on peut  déceler une nuance. Car, pour moi, "croire" se trouve encore au niveau de la raison, et "avoir la foi" vient de l'intérieur, même si, dans la plupart des cas,  le "croire" a précédé la foi. C'est comme si la croyance admettait le doute et non la foi. Bien évidemment nos fois peuvent être ébranlées et nous pouvons les perdre. Mais la foi est une certitude puissante qui envahie l'être tout entier, et qui élève cet être à un autre niveau. La foi ignore la peur, elle ignore la hiérarchie.  Pour celui qui a vraiment la foi, nul besoin de Prosélytisme, il se contente d'"être", car sa foi le remplit, elle le pousse à "servir". C'est en soupçonnant  cette nuance, que l'on peut comprendre que les crimes commis au nom de la foi sont des crimes de pouvoir,( pour l'avoir, pour le retrouver, ou pour le garder), et que leurs exécutants sont l'objet de manipulations qui les rendra consentants au pire.

jeudi 7 octobre 2010

Recueil de l'Être : passage " je voudrais trouver l'âme soeur"

Vous aimez ce texte chers lecteurs ! C'est qu'il est doux et énergique à la fois. Si vous êtes concerné par ce souhait, et si vous ne parvenez pas à le réaliser, vous  devez comprendre quelle est votre responsabilité dans cet échec. Vous aurez tendance à vous placer en victimes, ou en coupables, mais la solution est dans la responsabilité. Beaucoup d'entre vous le devine mais s'accusent de défauts inacceptables, de tares innommables, d'incapacités invalidantes. mais il ne s'agit pas de cela. Il s'agit d'être en accord avec soi-même, il s'agit de rester ce que l'on est vraiment, de s'accepter tel que l'on est. Car si vous pensez que vous pouvez tromper quelqu'un de susceptible de s'attacher à vous, vous vous trompez. J'ai bien écrit : de s'attacher à vous, pas à votre image, pas à l'apparence que vous voulez donner. Cette personne sentira inconsciemment les conflits qui vous animent, même si ces conflits ne sont pas clairement définis en vous-même. Alors chers lecteurs, libérez-vous du carcan des apparences ! Lisez et relisez ce texte pour retrouver la confiance. Lisez aussi le chapitre "Antoine" de "Témoins de lumière", vous vous y reconnaîtrez !

85% des nouveaux médicaments sont inefficaces - AgoraVox le média citoyen

85% des nouveaux médicaments sont inefficaces - AgoraVox le média citoyen

dimanche 3 octobre 2010

Témoins de lumière : le personnage de Paul

Paul échappe à un accident et sort laborieusement d'un coma. Son attitude intrigue, surprend, et elle vous intrigue aussi, chers lecteurs. Je ne pourrai pas vous dire si toutes les sorties de coma se ...

vendredi 1 octobre 2010

Kumpiy le livre sacré - Pourquoi un enseignement caché ?

Les deux tomes parus dans la suite romanesque "Kumpiy le livre sacré" sont très riches en enseignements, un enseignement direct, et un autre, plus discret, contenu dans les situations décrites, dans les solutions trouvées, dans les énigmes aussi.  Pourquoi cacher l'enseignement me direz-vous ? Croyez-moi ! Je ne cherche pas à dissimuler quoi que ce soit ! L'enseignement est là, sous vos yeux, clairement énoncé. La question n'est pas de trouver ce qui est caché ou pas, la question est : suis-je prêt(e) à voir,  et que suis-je prêt(e) à comprendre.
Ceux qui ne sont pas prêts verront dans ces livres des histoires à suspens captivantes. Il y a aussi ceux qui ne voit pas l'enseignement donné mais dont  l'attention est happée par les phrases et les mots, qui devinent qu'il y a quelque chose à approfondir, mais qui ne savent pas encore qu'une porte s'est entrouverte. La lecture devient plus attentive,  suscitant un doute bénéfique, un questionnement fécond. Certains repèrent une partie des pistes à suivre et en ignorent d'autres. Peu importe ! Chaque chose en son temps ! Voilà une parole de sagesse ! Il est inutile d'aller trop vite. Mais rappelez-vous, chers lecteurs, qu'il ne faut pas "trouver" dans mes livres mais "trouver" en vous, car les mots ne sont que les clés du coffre au trésor de vos âmes.