lundi 24 décembre 2012

Quelle attitude adoptera le GIEC, face au contenu de son 5e Rapport, qui a fuité ? (les moutons enragés)

Quelle attitude adoptera le GIEC, face au contenu de son 5e Rapport, qui a fuité ?

Ah le GIEC, le pauvre à qui lui arrive moult soucis, maintenant il s’agit de fuite involontaire au sein même de l’organisation. Il devra admettre publiquement que le réchauffement n’est pas dû au CO² anthropique mais plutôt l’activité solaire, et elle a une part importante de responsabilité, mais elle n’est pas la seule dans tout ce processus.
Alors que le dernier rapport se peaufine, le zèle d’un de ses membres a jugé bon de mettre au courant des dernières informations, ceux qui financent cette grande escroquerie mensongère. Une ébauche ou plutôt une version simplifiée de ce dit rapport est alors publiée, avec les détails déjà disponibles. D’autant que le personnage en question mentionne bien en clôture, et c’est là très précisément que c’est important, que les informations contenues dans ce document, remettent bien en question et de manière évidente, la thèse principale, l’origine humaine du dioxyde de carbone dans le processus du réchauffement climatique.
C’est donc par ce rapport et cette phrase aussi anodine en apparence, qu’on apprend que le GIEC admet sans détours que, oui c’est bien le soleil qui réchauffe la planète. Bien d’autres scientifiques en devenaient de plus en plus convaincus de par la multitude de résultats d’analyses allant dans ce sens. Mais depuis le début, combien d’entre eux ne se sont pas fait molester, traiter d’hérétiques et même désavouer par les hautes instances scientifiques et politiques, sans parler des menaces diverses.
Voici un tableau plus que significatif, (fig 1.4 du rapport) les courbes de couleurs représentent les prédictions de hausses de températures suivant les différents modèles mathématiques utilisés pour légitimer les décisions politiques et écologiques qui nous ont été imposées depuis. On observera que les relevés de t° (les points noirs) montrent globalement une stagnation depuis 2001, soit bien en dessous de ce que les modèles s’évertuent de prétendre. Pour les références, je vous renvoie vers le deuxième lien en-dessous fin du chapitre 1 page 39.

Autre élément et non des moindres, c’est la phrase du chapitre 7 p 43 (lignes 1à 9) qui attire fortement l’attention et qui, selon toute logique fait finalement changer d’optique le GIEC. (termes techniques).
“Many empirical relationships have been reported between GCR or cosmogenic isotope archives and some aspects of the climate system (e.g., Bond et al., 2001; Dengel et al., 2009; Ram and Stolz, 1999). The forcing from changes in total solar irradiance alone does not seem to account for these observations, implying the existence of an amplifying mechanism such as the hypothesized GCR-cloud link. We focus here on observed relationships between GCR and aerosol and cloud properties. Such relationships have focused on decadal variations in GCR induced by the 11-year solar cycle, shorter variations associated with the quasi-periodic oscillation in solar activity centred on 1.68 years or sudden and large variations known as Forbush decrease events. It should be noted that GCR co-vary with other solar parameters such as solar and UV irradiance, which makes any attribution of cloud changes to GCR problematic (Laken et al., 2011).”
“Beaucoup de relations empiriques ont été signalés entre GCR ou cosmogéniques archives isotopes et certains aspects du système climatique (par exemple, Bond et al, 2001;. Dengel et al, 2009;. Ram et Stolz, 1999). Le forçage des variations de l’irradiance solaire totale seule ne semble pas tenir compte de ces observations, ce qui implique l’existence d’un mécanisme amplificateur tel que le nuage émis l’hypothèse GCR-lien. Nous nous concentrons ici sur lesrelations observées entre la GCR et des aérosols et les propriétés des nuages​​.Ces relations se sont concentrés sur décennale variations de GCR induites par le cycle solaire de 11 ans, plus courtes variations associées à la quasi-périodique oscillation de l’activité solaire centré sur 1,68 années ou des variations soudaines et massives connues sous le nom diminution de Forbush événements. Il est à noter que la GCR co-varient avec les autres paramètres solaires tels que l’irradiance solaire et aux UV, qui rend toute attribution de modifications nuage de GCR problématique (Laeken et al., 2011). »
Le paragraphe suivant (lignes 31 à 27) met en évidence les dires de Svensmark dès 1997 concernant le rôle de la nébulosité dans la protection contre le réchauffement solaire, et c’est depuis 2011 que les preuves affluent sur l’action déterminante du soleil dans ce processus.
En conclusion, ces chapitres viennent de manière violente contredire tous les critères jusqu’ici émis par les instances scientifiques dont le GIEC s’est servi. Et en plus, le dogme selon lequel, le réchauffement viendrait du CO² anthropique (humain),s’écroule, mais également , qu’il n’est plus permis de négliger le forçage solaire face à l’action humaine, et même de le prendre comme principale responsable. De toute évidence, il(GIEC), ne lui reste plus le choix, soit en minimiser le contenu, soit à l’admettre dans son intégralité. La presse US se pose déjà des questions quant aux excuses extravagantes qui seront trouvées face à ce revirement, quant à l’européenne entièrement acquise à la cause, comment va-t-elle pouvoir cacher ce que tous les gens sensés savent déjà, que tout ce pipeau est basé sur des mensonges, tromperies et autres erreurs. Le temps des comptes et règlements de compte, va bientôt commencer.
Liens liés :
http://wattsupwiththat.com/2012/02/22/omitted-variable-fraud-vast-evidence-for-solar-climate-driver-rates-one-oblique-sentence-in-ar5/
http://www.stopgreensuicide.com/

Humour : Preuve évidente d’un réchauffement :