mardi 1 avril 2014

L'émission "Libre Antenne" de MetaTV interrompue en plein direct par la police! (fawkes)

L'émission "Libre Antenne" de MetaTV interrompue en plein direct par la police!


Tiens, pour ce genre d'exercice de style, ils sont rudement rapides. Vous savez que la vidéo concernant les accusations d'attentat à pudeur à Joué-les-tours a aussi été censurée en moins de 48H par Youtube. En France, on se croirait de plus en plus en Corée du Nord niveau liberté d'expression et avec Valls en premier ministre, ça ne risque pas de s'améliorer. Meta Tv est un espace d'échange citoyen sur des thèmes qui dérangent. Mais il y en a un qui fait friser les moustaches de certains on dirait. Fawkes


Hier, 21h, comme chaque soir de la semaine pour tous les fidèles de la chaîne de télévision en ligne MetaTV, l'émission phare baptisée "La libre antenne", au programme depuis plusieurs mois, démarre avec quelques centaines de spectateurs au compteur.
L'émission diffusée ce soir là est intitulée "Révisionnisme, Fantasmes ou réalité ?". Certains jugeront le titre trop provocateur, d'autres insisteront sur la légitimité d'un tel débat, considérant que la loi qui interdit la contestation et la révision de certains faits historiques est parfaitement inutile, périlleuse voire dangereuse.
L'animateur du débat citoyen offre la possibilité à ses spectateurs d'adresser leurs questions en direct, via un outil de messagerie instantanée disponible sur le site. Comme à l'accoutumée, après une heure de diffusion, il fait une pause. Jusqu'ici rien d'anormal, tout se déroule comme d'habitude sur MetaTV.
C'est alors qu'une poignée de policiers - armés - surgit de façon résolue, énergique et inattendue. Ils surprennent les membres de l'équipe de la chaîne et interrompent le direct manu militari. Les spectateurs sont effarés comme en témoigne la messagerie attachée au site. Les animateurs et membres de la régie sont embarqués, probablement questionnés auprès de la police, pour avoir offert un instant de débat citoyen sur un thème encore trop sensible pour les forces qui dirigent la nation française autrefois souveraine.
Source: