Grippe aviaire ou porcine et « Nouvel Ordre Mondial » (partie 2)
Cet article vient compléter celui évoquant les révélations de Jane Burgermeister en première partie. Il s'agit cette fois des recherches du Dr Leonard G. Horowitz 25 qui faisait des conférences sur l'origine humaine du SIDA et d'Ebola il y a un bon moment déjà. Concernant le SIDA, le Dr Boyd E. Graves avait aussi confirmé la création du virus par le Dr Robert Gallo pour le compte des américains. Horowitz a confirmé cette année que la nouvelle pandémie Ebola est entièrement orchestrée par les Etats-Unis en collaboration avec l'OMS.
Cet article révèle beaucoup d'informations sur le rôle des hautes
sphères d'influences, des service de santé (enfin plutôt de la maladie)
et des cartels pharmaceutiques dont certains traînent avec eux un lourd
passif de collaboration avec les nazis et leurs expériences eugénistes.
Ce qui était vrai en 2009 pour H1N1 l'est cette année pour Ebola. Les autres souches d'Ebola ont tué 1548 personnes en 38 ans, cette nouvelle souche a tué 2750 personnes en 6 mois. Ce virus a très probablement été modifié en laboratoire. Fawkes
Alors
que les formes ordinaires de grippe tuent environ 40.000 Américains
chaque année, si la grippe aviaire (qui a fait moins de 100 morts) était
devenue réellement une pandémie redoutable, cela aurait été à la suite
d’une volonté politique délibérée.
Le
Dr Leonard G. Horowitz (expert international en matière de santé
publique, de sciences du comportement, de maladies nouvelles et de
terrorisme bactériologique. Diplômé de Harvard) démontre qu'un
"bioterrorisme" d’État est parfaitement compatible avec une guerre
bactériologique menée par un État et ses industries et relayée par les
médias qu'ils contrôlent.
Par
cet article, nous pouvons être mieux informés sur le prochain génocide
"médicalement assisté" qu’ils nous concoctent... Grippe porcine ou
aviaire ?
Le but est de nous faire peur et de nous faire vacciner ! À lire jusqu'au bout.
Si la grippe aviaire devient réellement une pandémie redoutable, ce sera à la suite d'une volonté politique délibérée. Par cet article, nous pouvons être mieux informés sur le prochain génocide "médicalement assisté", tout en nous confiant dans le Seigneur pour notre protection !
En avril 2003,
nous avons déjà connu le SARS (Severe Acute Respiratory Disease, SRAS en
Français), ou pneumonie atypique. Cette maladie nous venait également
d'Asie, et frappa lourdement la région de Toronto. J'étais sur place
pendant presque toute la durée de cette épidémie, qui annonçait la
grippe aviaire actuelle. On a dit à l'époque que le SRAS était la
dernière venue de toute une série de maladies nouvelles, provoquées par
une série de mystérieux "super germes" mutants qui devaient frapper
l'humanité.
Une étude
scientifique attentive des caractéristiques médico-sociologiques et des
antécédents de cette épidémie a révélé quelque chose de bien plus
insidieux que le SRAS proprement dit.
25 Cet
article a été écrit lors des risques d’épidémies de grippe aviaire, en
2005. Le texte reste tristement… et strictement d’actualité.
Jane Burgermeister et dépopulation programmée 11
J'ai considéré
la réaction des médias comme doit la considérer tout diplômé de Harvard,
expert en problèmes de santé publique et en techniques psychologiques
de persuasion mentale. Car cette épidémie possédait toutes les
caractéristiques d'une nouvelle expérimentation sociale conduite par des
"bioterroristes" en blouse blanche.
Il me parut
clair que cette manipulation humaine sans précédent était destinée à
endoctriner les masses populaires et à les manipuler subtilement, pour
qu'elles soutiennent une politique de santé publique parfaitement
inadaptée à la venue d'une pandémie massive, malgré toute la législation
existante (1). Tout au long de l'épidémie de "pneumonie atypique", les
médias n'ont cessé de faire référence à des "agents bactériologiques"
nouveaux, qui pouvaient provoquer la disparition du tiers à la moitié de
la population mondiale. Ayant étudié à fond tout ce qui a été publié
récemment en matière de contrôle de la population, ainsi que les
objectifs actuels des principales sociétés industrielles
multinationales, j'ai remarqué que ces "prédictions" correspondaient
étroitement à certains objectifs officiels en matière de réduction de la
population mondiale (2).
En 2003, la
lutte menée au Canada contre le SRAS, pour la première fois de
l'histoire de ce pays, fut dirigée directement par les Nations Unies et
par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Pour avoir
découvert les liens étroits qui existaient, sur les plans financier et
administratif, entre les organisations suivantes, j'ai constaté que la
famille Rockefeller, la Fondation Carnegie, et les principaux dirigeants
de l'industrie pharmaceutique mondiale, ont contrôlé la recherche
canadienne et la lutte menée au Canada contre cette épidémie.
Aucune grande
pandémie, ou épidémie à l'échelle mondiale, n'a jamais pu être séparée
de son contexte économique et politique. L'épidémie de pneumonie
atypique a fait avancer le programme politique du Nouvel Ordre Mondial beaucoup
plus vite que tout autre problème de santé publique. Si les
responsables politiques de la santé publique voulaient réellement
prévenir ces épidémies nouvelles qui se produisent régulièrement, ou
s'ils voulaient vraiment les traiter à la source, ils ne pourraient
manquer de remarquer que ces agents bactériologiques dévastateurs sont
toujours mystérieusement apparus au sein de structures secrètes
associant certains milieux militaires, médicaux et de la biotechnologie.
Il suffit simplement d'étudier la sociologie médicale pour s'en rendre
compte.
Cela fait des
décennies que certains "experts" nous prédisent l'arrivée prochaine
d'une super épidémie dévastatrice. Ce qui a aussitôt éveillé mes
soupçons, en ce qui concerne la pneumonie atypique, fut le moment où
elle est survenue. Elle survint au moment même où était lancée la guerre
totale contre le terrorisme, et la guerre Anglo-Américaine contre
l'Irak. Il m'a semblé qu'il s'agissait là d'une occasion rêvée de
"distraire" l'opinion publique du fait que l'administration Bush avait
accusé Saddam Hussein d'accumuler un arsenal impressionnant d'armes
bactériologiques, dont l'anthrax et le virus du Nil. L'épidémie de
pneumonie atypique était donc caractéristique de ce que j'avais déjà
annoncé dans l'un de mes livres au titre prophétique, publié avant les
attaques du 11 septembre. Plusieurs mois avant ces attaques, je les
avais annoncées dans ce livre, en présentant l'analyse conceptuelle qui
nous permet de comprendre les liens qui existent entre ces épidémies et
le Nouvel Ordre Mondial (Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare,
Tetrahedron Publishing Group, 2001 – ("Mort dans l'air : Globalisme,
Terrorisme et Guerre chimique"). Pour résumer l'essentiel de ce livre,
j'y expliquais comment une certaine forme de "bioterrorisme" d'État
était parfaitement compatible avec une guerre bactériologique
officiellement menée par un État. Saddam Hussein avait lui-même fait
subir à certaines des populations de l'Irak et des États voisins les
effets destructeurs des armes chimiques et bactériologiques. Pour moi,
il est clair que la pneumonie atypique, tout comme la grippe aviaire
actuelle, se sont produites avec le consentement et l'appui de certains
milieux des industries médicale, pharmaceutique, pétrochimique et
militaire, opérant de manière illégale. C'est ce que j'ai pu prouver
maintes fois. Ayant eu l'occasion de témoigner devant le Congrès
Américain, j'ai pu me rendre compte directement de quelle manière
l'industrie pharmaceutique influence et contrôle nos représentants
économiques et politiques au niveau du gouvernement.
Jane Burgermeister et dépopulation programmée 12
Les épidémies
émergentes complètent les effets de la guerre politique contre le
terrorisme, et correspondent à notre culture actuelle influencée par le
bioterrorisme. Un tel programme secret répond à deux objectifs
essentiels : la recherche du profit, et la réduction de la population
mondiale.
Réalité politique, contre mythes véhiculés par les médias
La folie croissante du monde qui nous entoure correspond étrangement aux recommandations des penseurs du Nouvel Ordre Mondial, qui favorisent les "désastres sans guerre". De quoi s'agit-il exactement ?
Dès la fin des
années 60, dans les principaux milieux industriels, on a commencé à
réfléchir à des "substituts économiques à la guerre classique." Comparés
aux effets des première et seconde guerres mondiales, les dégâts qui
pouvaient être provoqués par les désastres naturels, les super ouragans,
les épidémies, ou la guerre bactériologique et génétique, ont commencé à
apparaître comme politiquement et économiquement "rentables". Ces
"désastres sans guerre" étaient manifestement beaucoup plus "gérables"
politiquement, et plus "rentables" économiquement. Pour ces raisons, et
tout particulièrement pour leur rentabilité économique, les dirigeants
politiques Anglo-Américains du Nouvel Ordre Mondial ont considéré ces "désastres sans guerre" comme des options de tout premier choix.
Par exemple, le
protégé de Nelson Rockefeller, Henry Kissinger, en tant que Conseiller
pour la Sécurité Nationale sous Richard Nixon, a dirigé en fait la
politique extérieure des États-Unis, tout en considérant la réduction de
la population mondiale comme une "nécessité" pour les États-Unis, la
Grande-Bretagne et leurs alliés. C'est ce même Kissinger qui a été nommé
par George W. Bush pour présider le « Comité d'enquête sur les
événements du 11 septembre ». Kissinger est pourtant un criminel de
guerre avéré, qui avait ordonné à la CIA de développer des armes
bactériologiques, selon les archives du Congrès Américain de 1975.
Parmi ces armes bactériologiques fabriquées par l'homme, il existe des germes bien plus mortels que celui de la grippe aviaire !
Par exemple,
avant 1968, Kissinger ordonna une enquête concernant les agents
bactériologiques synthétiques existants, qui pourraient être utilisés en
matière de guerre bactériologique et de contrôle de la population
mondiale. Or, une équipe de chercheurs (O'Conner, Stewart, Kinard,
Rauscher et d'autres), venait juste de fabriquer en laboratoire de
nouveaux virus mutants de la grippe, capables de propager certains
cancers (3). À l'occasion de ce programme, certains virus
grippaux furent combinés artificiellement avec d'autres virus de la
leucémie aiguë, pour fabriquer littéralement de nouveaux germes capables
de répandre ce cancer à la vitesse d'une épidémie de grippe, par simple
contact direct avec des personnes infectées. Ces mêmes
chercheurs ont aussi manipulé des virus du cancer du poulet, un sarcome,
pour les inoculer à des hommes et à des singes, afin de tester leur
capacité à produire un cancer chez ces derniers. Rauscher, et d'autres,
ont aussi employé les radiations pour augmenter la puissance du virus du
cancer du poulet. Ces faits scientifiques incroyables ont été
officiellement reconnus, mais largement négligés par les principaux
médias. [...]
Les "conflits
sans guerre", tels que la "guerre contre le SIDA", la guerre contre la
drogue", la guerre contre le terrorisme", la guerre contre le cancer",
et, à présent, la "guerre contre la grippe aviaire", exigent des
programmes très sophistiqués de propagande, ayant recours à des
campagnes visant à stimuler la crainte au sein de l'opinion publique,
afin qu'elle accepte et soutienne les lois supprimant les libertés
publiques. Ces opérations psychologiques sont nécessaires pour contrôler
ces conflits sans guerre, et constituent la caractéristique essentielle
de la nouvelle "révolution militaire" en cours.
Cette
"révolution militaire" cherche à instaurer une nouvelle forme
d'esclavage humain, par lequel les populations humaines ne se rendent
même plus compte qu'elles sont soumises à un esclavage (2) !
Cette nouvelle
"révolution militaire" fait appel, sans aucun doute, à des armes
bactériologiques et chimiques très puissantes. Ces armes sont mises en
œuvre par les fabricants de vaccins et de médicaments, pour leur plus
grand profit. Il existe un exemple classique, celui des pesticides très
toxiques et cancérigènes largement utilisés dans des zones habitées,
sous prétexte d'éradiquer les moustiques responsables de la "fièvre du
Nil". Ces produits, selon les termes militaires, ne sont pas directement
mortels. Mais ils agissent à long terme, en provoquant une mort lente
par empoisonnement chronique, ce qui génère encore plus de profits pour
les sociétés pharmaceutiques chargées d'inventer de nouveaux médicaments
pour lutter contre ces maladies. Les victimes de ces campagnes
d'éradication des moustiques meurent lentement de maladies chroniques
débilitantes. Les centres de soins et les hôpitaux construits pour
traiter ces malades ne sont que des camps de concentration virtuels.
Parmi toutes
ces maladies nouvelles provoquées artificiellement figurent un grand
nombre de maladies touchant le système immunitaire, ainsi que de
nombreux cancers pratiquement inconnus il y a cinquante ans. Ce simple
fait, à lui seul, suffit à suggérer l'existence d'un véritable génocide
socio-économique programmé par certaines autorités politiques.
Jane Burgermeister et dépopulation programmée 13
Une grippe aviaire qui rapporte !
Face à
l'épidémie de pneumonie atypique, Michael Fumento, chercheur à
l'Institut Hudson de Washington, a publié à Toronto une thèse
économique, qui ressemble à celle que je développe dans cet article.
Cette thèse a été publiée dans le Canadian National Post. On a
demandé aux Canadiens de se mettre eux-mêmes en quarantaine, de porter
des masques et, dans certains cas, de rester chez eux. Le Ministre de la
santé de l'Ontario a décrété un "état d'urgence sanitaire", alors que
les médias parlaient de la "super pneumonie, cette tueuse mystérieuse".
Refusant de se
laisser gagner par cette hystérie, Fumento posait un certain nombre de
vraies questions. Cette épidémie était-elle réellement aussi mortelle et
aussi contagieuse qu'on le disait ? Il concluait en ces termes : "Les réponses à ces questions ne laissent aucune place à l'excitation, encore moins à la panique". On pourrait en dire tout autant pour cette nouvelle épidémie de grippe aviaire (1). [...]
Afin de
fabriquer un vaccin spécifique contre un virus mutant H5N1 transmissible
à l'homme, il faudrait tout d'abord que ce virus de la grippe aviaire
transmissible à l'homme existe. Or, actuellement, ce virus n'existe pas,
excepté peut-être dans quelques laboratoires du complexe
militaro-médico-pharmaceutique. En fait, d'après les informations dont
je dispose, c'est exactement ce qui est en train d'être préparé en
secret. Afin de produire un virus transmissible à l'homme, il faut
cultiver le virus de la grippe aviaire pendant assez longtemps, en le
mélangeant à des cultures de cellules humaines. Il faut ensuite
l'injecter à des singes, puis à des êtres humains, pour vérifier si ces
sujets attrapent ce nouveau virus fabriqué en laboratoire.
Ainsi, ce nouveau virus que le monde craint tant est :
1) soit en
train d'être fabriqué dans des laboratoires financés par des industriels
puissamment motivés à laisser "accidentellement" se répandre ce virus.
2) soit a déjà
été fabriqué dans ces laboratoires, pour profiter de la panique mondiale
actuelle, en prévision des énormes profits qui seront dégagés par la
lutte contre ce virus. Il faut savoir qu'un vaccin, pour être réellement
efficace contre un virus, a besoin d'être spécifique. Si les autorités
voulaient réellement répandre le virus humain de la grippe aviaire H5N1 à
une certaine échéance future précise, elles n'auraient aucune garantie
sérieuse que le vaccin produit en parallèle soit efficace à cette même
échéance, compte tenu des mutations virales possibles. En effet, la
rapidité des mutations virales dépend de la nouveauté du virus.
Les nouveaux
virus fabriqués par l'homme et créés en laboratoire, comme ceux qui sont
actuellement fabriqués pour préparer un vaccin, sont beaucoup moins
stables que ceux qui ont naturellement évolué au cours des millénaires
(Fawkes: D'ou le nombre impressionnant de mutations relevées dans la
souche actuelle d'Ebola, tout cela n'a rien de naturel). C'est pour
cette raison que tous les efforts actuels pour préparer un vaccin ne
sont que de la poudre jetée aux yeux, et que les véritables motivations
restent cachées.
Il faut aussi
savoir que l'efficacité d'un vaccin exige des années, ou du moins des
mois de contrôles et de vérifications au sein de la population visée.
Pendant cette période, on doit soigneusement réunir toutes les
informations sur les effets secondaires ou les accidents thérapeutiques
provoqués par ce vaccin, afin de s'assurer qu'il ne tue pas, ou ne rende
pas malades, plus de personnes que celles qu'il prétend sauver !
Pouvez-vous sérieusement croire que le gouvernement, ou l'industrie
pharmaceutique, pourront réunir toutes ces garanties, au milieu de
l'hystérie provoquée par cette "pandémie" ? La réaction désastreuse des
autorités face à l'ouragan Katrina sera avantageusement comparée au
désastre sanitaire et humanitaire certain provoqué par un vaccin mal
testé et des mesures de santé publique inadaptées !
Je parle de
désastre certain, parce que nous disposons de précédents. La liste est
longue de vaccins préparés à la hâte, qui ont entraîné, une fois mis sur
le marché, des conséquences humaines horribles. On peut citer le
premier vaccin contre la peste porcine, les vaccins contre la polio, le
vaccin contre la variole, le vaccin contre l'anthrax, le vaccin contre
l'hépatite B et, plus récemment, le vaccin contre la maladie de Lyme,
qui a handicapé près de 750.000 personnes en quelques mois, avant d'être
retiré du marché par les autorités !
Jane Burgermeister et dépopulation programmée 14
La plupart
des gens ignorent que tous les vaccins comportent toute une série
d'ingrédients qui sont potentiellement nuisibles pour la santé, et même
mortels.
On peut citer,
parmi ces ingrédients, des produits chimiques toxiques comme le mercure,
l'aluminium, le formaldéhyde et le formol (employés pour conserver les
cadavres), des produits génétiques étrangers à l'homme, des protéines à
haut risque issues de certaines espèces de bactéries, de virus ou
d'animaux, et qui ont été scientifiquement associés au déclenchement de
certaines maladies du système immunitaire ou de certains cancers. Nous
disposons de plus en plus de faits scientifiques qui tendent à démontrer
que les vaccins sont en grande partie responsables de nombreuses
maladies, comme l'autisme, la fatigue chronique, la fibromyalgie, le
lupus, la sclérose en plaques, l'arthrite rhumatoïde, l'asthme, le rhume
des foins, les infections chroniques de l'oreille, le diabète de type
1, et bien d'autres maladies encore. Ces maladies chroniques et
débilitantes nécessitent des traitements à long terme, qui eux-mêmes
entraînent de nombreux effets secondaires. En réalité, la principale
cause de mortalité en Amérique est représentée par les maladies
iatrogéniques, c'est-à-dire les maladies produites par le système
médical, ou contractées en son sein. Cela signifie que les vaccins,
comme bien d'autres inventions de l'industrie pharmaceutique,
handicapent et tuent littéralement des millions de personnes, sans que
ni le gouvernement ni l'industrie n'interviennent pour arrêter ce fléau.
D'après tout ce
que nous savons, ce sont les gouvernements qui sont en train de
fabriquer un vaccin contre la grippe aviaire, dont l'effet sera
précisément de répandre cette pandémie dans le monde entier, afin de
réduire la population mondiale.
Cette hypothèse vous semble-t-elle absurde ? Lisez donc la suite. Business Week pense
que l'accumulation de vaccins par les gouvernements ne peut que
profiter aux sociétés pharmaceutiques, comme Sanofi-Pasteur,
Sanofi-Aventis ou Chiron. On considère que le Tamiflu, un antivirus
fabriqué par Roche, serait efficace contre la grippe aviaire. Les
États-Unis possèdent déjà 4,3 millions de doses de Tamiflu, et d'autres
commandes sont en cours.
Voici toutefois ce que Business Week n'a
pas révélé : l'efficacité et l'innocuité du Tamiflu n'ont pas été
prouvées pour ce qui concerne les populations souffrant de maladies
chroniques, ce qui est le cas d'une bonne partie de la population
américaine. Il faut aussi noter que ce médicament provoque de nombreux
effets secondaires : nausées, vomissements, diarrhées, bronchite,
douleurs gastriques, étourdissements, mots de tête, etc.
En 1999, les
Laboratoires Roche (Hoffman-La Roche) ont été reconnus coupables de
malversations en ce qui concerne la fourniture de vitamines sur le
marché mondial. Roche appartient à un cartel pétrochimique et
pharmaceutique issu de l'I.G. Farben, l'un des piliers industriels de
l'Allemagne Nazie (2) (6).
L'un des
partenaires industriels de Sanofi-Aventis est la Société Merck. Cette
entreprise avait reçu la part du lion, lors de la distribution des
dépouilles de l'économie nazie, à la fin de la deuxième guerre mondiale.
Le chiffre d'affaires de la Société Merck a fortement chuté l'an
dernier, quand elle a dû retirer du marché l'un de ses médicaments de
lutte contre l'arthrite, le Vioxx, aux effets dévastateurs. Selon des
rapports récents, Merck et Sanofi-Aventis travaillent actuellement à
produire le premier vaccin contre un cancer sexuellement transmissible,
vaccin destiné aux adolescents (7). Merck est aussi tristement célèbre
pour avoir produit le premier vaccin contre l'hépatite B, responsable du
déclenchement de l'épidémie de SIDA, selon des rapports scientifiques
que j'ai publiés dans l'un de mes livres, qui est actuellement un
bestseller (3) (8).
Au cours des
semaines et des mois qui ont suivi les attaques du 11 septembre aux
États-Unis, j'ai réussi à démontrer que les courriers contenant de
l'anthrax provenaient d'entreprises qui produisent des armes
bactériologiques, qui avaient conclu des contrats avec la CIA, et qui
avaient aussi des liens avec les services secrets anglais, ainsi qu'avec
ce même cartel pharmaceutique Anglo-Américain déjà cité (9).
Ces courriers
chargés d'anthrax avaient provoqué dans toute l'Amérique une vive
crainte du terrorisme bactériologique, qui a profité largement aux
fabricants de vaccins et de produits pharmaceutiques, les mêmes qui sont
aujourd'hui associés à tous ceux qui profitent de la grippe aviaire
(10).
Confrontés à de
telles craintes, la plupart des gens n'hésitent pas à renoncer à leurs
droits civiques et à leurs libertés individuelles. En Amérique, le vote
de la loi scandaleuse sur la Sécurité Nationale (Home Security Act),
ainsi que d'une loi similaire au Canada, sont des exemples classiques
de cette dérive sociale, et de cette manipulation à grande échelle
aboutissant à une législation forcée.
Jane Burgermeister et dépopulation programmée 15
Pourquoi l'Asie ?
Au moment où
les relations entre la Chine, d'une part, et la Grande-Bretagne et les
États-Unis, d'autre part, sont assez tendues, pour ne pas dire plus, il
est assez opportun que cette grippe aviaire provienne d'Asie, tout comme
la récente pneumonie atypique. Juste avant les premiers cas de
pneumonie atypique, les Américains ont dû faire face à une escalade
d'agressions dans la péninsule de Corée. La Chine communiste, pourtant
déclarée "partenaire commercial privilégié" de l'Amérique, est
politiquement alliée avec plusieurs ennemis de l'Amérique, y compris
ceux qui, à l'époque, étaient censés posséder des armes de destruction
massive, comme l'Irak. Etait-ce une coïncidence ? Vraisemblablement pas,
quand on considère l'oligarchie Anglo-Américaine, ses entreprises
multinationales, et ses "conflits sans guerre" artificiellement
provoqués.
Considérez aussi le fait que les principaux médias étaient fortement influencés, si ce n'est complètement contrôlés,
par leurs commanditaires multinationaux, qui défendaient les intérêts
d'un nombre relativement restreint d'entreprises et d'organismes
multinationaux.
N'oubliez pas
non plus que les fournisseurs d'informations suivent les directives des
services de renseignements, si l'on en croit le témoignage respectable
de très nombreux fonctionnaires et agents de renseignements à la
retraite. Il serait donc bon que vous vous posiez les questions
intelligentes suivantes, et que vous y apportiez une réponse :
— Pourquoi les
hauts responsables de la Défense Américaine, à commencer par William
Cohen, Secrétaire à la Défense sous Bill Clinton, ont-ils fait autant de
publicité à la prétendue vulnérabilité des États-Unis en matière de
terrorisme bactériologique ? N'est-ce pas une forme de haute trahison à
l'égard des États-Unis, que de dévoiler dans la presse des "secrets
défense" aussi importants, qui pouvaient être exploités par les ennemis
potentiels de notre pays ?
— Pourquoi les
principaux médias continuent-ils à prédire l'arrivée d'une pandémie
mondiale causée par un virus grippal humain, qui provoquera des millions
de morts, comme la "grippe espagnole" en 1918-1919 ?
— Pourquoi ces
mêmes médias ne parlent-ils pas des faits indubitables concernant les
individus, les organisations ou les laboratoires qui travaillent à
produire ces agents de destruction massive ? On a même tout fait pour
"déterrer" le virus de la grippe espagnole, soi-disant pour l'étudier
et, éventuellement, le répandre à nouveau 26 !
26 Lire à ce sujet l’article du Dr. A. True Ott p. 19.
Jane Burgermeister et dépopulation programmée 16
— Pourquoi
dit-on que le virus de la grippe espagnole est-il apparu au Tibet en
1917, d'après les données historiques officielles ? On a raconté que les
journaux espagnols avaient été les seuls à publier des articles
concernant cette grande épidémie, en raison de leur neutralité au cours
de la première guerre mondiale. Toutefois, les relations entre l'Espagne
et les États-Unis, à l'époque, n'étaient pas meilleures que les
relations entre la Chine communiste et les États-Unis aujourd'hui. On
avait décidé de baptiser cette épidémie "grippe espagnole", suite à deux
décennies de disputes entre l'Amérique et l'Espagne, à propos de la
colonisation des Caraïbes, de Hawaii et des
Philippines, après la guerre hispano-américaine, qui s'était terminée en
1902 aux Philippines. En fait, la grippe espagnole avait commencé dans
des camps militaires. L'Histoire n'est-elle pas en train de se répéter ?
— N'est-il pas clair que l'Amérique est en train d'être manipulée, et qu'elle est sans doute la victime des planificateurs du Nouvel Ordre Mondial ? N'oubliez pas que l'une des priorités de ces planificateurs est la réduction de la population mondiale !
La grande pandémie annoncée.
J'affirme à
nouveau qu'au cours des années 60 et 70, des laboratoires militaires
étroitement associés à l'industrie pharmaceutique ont fabriqué des virus
mutants de la grippe, et les ont combinés avec des virus de la leucémie
aiguë. En d'autres termes, ils ont amassé des quantités considérables
de virus de la leucémie, aussi contagieux que celui de la grippe (3).
Par ailleurs,
de nombreux experts des maladies infectieuses ou hauts responsables de
la santé publique, apparemment oublieux de cette réalité scientifique,
affirment que la grippe aviaire actuelle pourrait être la "grande
pandémie" prédite. Il y a quelques jours, les Nations Unies ont publié
un rapport déclarant que 150 millions de personnes dans le monde
pourraient mourir de cette grippe aviaire.
Emma Ross, journaliste à l' « Associated Press »,
avait publié des articles sur la manière dont l'OMS (Organisation
Mondiale de la Santé) avait lancé son "plan de crise pour éradiquer
l'épidémie de pneumonie atypique". Vous savez sans doute que l'OMS est
l'une des organisations qui dépendent de l'ONU, et qu'elle a été accusée
de répandre le SIDA en Afrique, sous couvert de campagnes de
vaccination contre l'hépatite B et la poliomyélite. Il existe un certain
nombre de faits précis qui étayent cette accusation (1).
Il est
troublant de savoir que les Nations Unies sont très fortement
influencées par certains membres de la famille Rockefeller, qui
possèdent des intérêts dans les industries pétrochimique et
pharmaceutique. On sait que le siège des Nations Unies à New York a été
construit grâce à la fortune des Rockefeller. Au cours de la seconde
guerre mondiale, ce sont encore les Rockefeller, ainsi que leur
"Standard Oil Company", qui ont soutenu Hitler, bien plus que les
Alliés. Cela a été reconnu devant les tribunaux. Un juge fédéral a
décidé que Rockefeller avait commis une "trahison" envers les
États-Unis.
Après la
seconde guerre mondiale, selon l'avocat John Loftus, enquêteur officiel
sur les crimes nazis, Nelson Rockefeller a persuadé les nations
Sud-Américaines de voter en faveur de la création de l'État d'Israël,
dans le seul but de détourner l'attention du fait qu'il avait soutenu
les Nazis.
John D.
Rockefeller s'est joint à Prescott Bush (le grand-père de George W.
Bush), ainsi qu'à la famille royale anglaise, pour financer les
initiatives "d'amélioration de la race" qui ont donné naissance aux
programmes "eugéniques" d'Adolf Hitler. Au cours de cette même période,
la famille Rockefeller a pratiquement monopolisé l'industrie
pharmaceutique américaine, ainsi que les laboratoires de lutte contre le
cancer et de recherche génétique (2)
(3).
Aujourd'hui, la famille Rockefeller, la Fondation Rockefeller, les
Nations Unies et l'OMS sont responsables de "programmes démographiques"
visant à réduire la population mondiale à un niveau jugé plus
"acceptable". Comme l'a écrit Foreign Affairs, un périodique
politique prestigieux publié par le CFR (Council on Foreign Relations),
dirigé par David Rockefeller, l'objectif serait de réduire la population
des États-Unis de 50% (2). Davis Heymann, de l'OMS, avait déclaré, à
propos de la pneumonie atypique : "Nous n'avons jamais rencontré une épidémie aussi généralisée, à une aussi grande échelle".
Le Docteur Klaus Stohr, virologue de l'OMS en charge de la coordination internationale des laboratoires, avait ajouté : "C'est
la première fois qu'un réseau mondial de laboratoires échange ainsi des
informations, des échantillons, des prélèvements sanguins et des
images. Il n'y a plus de secrets, plus de jalousie, ni de compétition,
face à une telle urgence sanitaire mondiale. C'est un réseau
phénoménal !"(1). Ces réseaux de surveillance des maladies infectieuses sont encore contrôlés par les Rockefeller !
Dr Leonard Horowitz
Cet article est disponible en français à : http://mecanopolis.wordpress.com/category/virus-de-la-leucemie
Original disponible en anglais à :
http://educate-yourself.org/cn/lenhorowitzdbunksavianfluhysteria11oct05..shtml
Jane Burgermeister et dépopulation programmée 17
À propos de l’auteur : Le
Dr. Leonard Horowitz est un expert international en matière de santé
publique, de sciences du comportement, de maladies nouvelles et de
terrorisme bactériologique. Diplômé de Harvard, il est membre de
l’équipe de chercheurs de cette université. Il est connu pour plusieurs
livres à succès, dont un best-seller : "Emerging Viruses : AIDS & Ebola - Nature, Accident or Intentional ?" (Les
virus émergents, SIDA et Ebola - Naturels, accidentels ou
intentionnels ?) Ce livre a permis l’ouverture d’une enquête officielle
aux États-Unis pour vérifier les hypothèses avancées par le Dr Horowitz.
Ses travaux
concernant les risques associés aux vaccinations ont poussé au moins
trois pays en voie de développement à modifier leurs politiques en
matière de vaccination.
Le Dr Horowitz a
eu l’occasion de donner un témoignage retentissant devant le Sénat des
États-Unis. Une semaine avant les attentats à l’anthrax, il avait
officiellement averti le FBI de cette menace précise, mais il n’avait
pas été écouté. Trois mois avant les attaques du 11 septembre, il avait
publié son treizième livre, intitulé, d’une manière plutôt
prophétique : "Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare" (Mort
dans l’air : Mondialisation, Terrorisme et Guerre bactériologique).
Dans ce livre, il s’en prend au "cartel pétrolier et pharmaceutique",
qu’il accuse de préparer un nouveau génocide programmé.
Notes :
1) Horowitz LG. SARS (Severe Acute Respiratory Syndrome) : A Great Global Scam. (Un grand canular).
Disponible en anglais à :
2) Horowitz LG. Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare. Sandpoint, ID : Tetrahedron Publishing Group, printemps 2001.
3) Horowitz LG. Emerging Viruses : AIDS & Ebola, Nature, Accident or Intentional ? Sandpoint, ID : Tetrahedron Publishing Group, printemps 2001.
4) The Institute of Science in Society. SARS and Genetic Engineering ? London, England. Article disponible en anglais à :
5) Knox N. Europe braces for avian flu. USA Today, 9 octobre 2005 ; Manning A Government to stock up on avian flu shots. USA Today, 8 octobre 2005.
6) Wang P. Avian Flu : Inoculate Your Portfolio. Business Week. Edition en ligne, disponible en anglais à :
7) CNN Money. Merck shares jump on cancer drug vaccine. 6 octobre 2005. Disponible en anglais à :
8) Pour plus d’informations sur les liens entre le vaccin de l’Hépatite B et l’épidémie de SIDA, lien à :
9) Horowitz LG. The CIA’s Role in the Anthrax Mailings : Could Our Spies be Agents for Military-Industrial Sabotage, Terrorism, and Even Population Control ? A rapport special. Article disponible en anglais à :
10) Horowitz LG. DNA : Pirates of the Sacred Spiral. Sandpoint, ID : Tetrahedron Publishing Group, 2004.
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