Grâce à deux exemples différents mais ô combien concrets, nous
allons voir les nouvelles méthodes de propagande que vont utiliser les
officiels (ou les médias dits "publics") ainsi que les firmes
pharmaceutiques - l'État et les firmes se considérant comme des
"partenaires naturels" (rapport du Sénat
français de 2007)- pour mieux laver le cerveau des jeunes enfants et
tenter d'enrayer une prise de conscience décisive du public sur les
effets pervers ingérables des vaccins.
Premier exemple : le dessin animé "Le village de Dany" dans l'émission de France 5 "Les zouzous". Épisode intitulé "Danny se fait faire une piqûre" (cf les 11 premières minutes) :
Remarque : comme plusieurs s'en
seront aperçus, le mot "vaccin" n'est jamais prononcé dans ces 11
minutes. Il faut dire que ceux-ci ont de moins en moins la cote (voir ici ou ici
par exemple). L'establishment tente donc de gagner une sorte de "course
contre la montre" sur les générations, en évitant le point de rupture
qui n'est en réalité plus très loin : en vaccinant de plus en plus
massivement avec des vaccins qui sont aussi générateurs d'effets
secondaires (puisque tous sont expérimentaux),
il est clair que "le serpent va se mordre la queue" tôt ou tard et que
chacun finira par connaître, si ce n'est lui-même, beaucoup plus de
personnes victimes de vaccins que des personnes prétendûment sauvées des
maladies infectieuses ou de leurs complications.
Le mythe des vaccins sauveurs ne peut dont que voler en éclats à terme.
Mais l'espoir caressé par l'establishment et les industriels, c'est
d'essayer de renouveler l'idéologie de toute la jeune génération dans
une sorte de grand "reset" général, de façon à faire passer comme
entièrement naturel, intégré et "allant de soi" le fait de se faire
vacciner. Raison de plus pour faire deux fois plus attention aux
programmes devant lesquels vous mettez vos enfants!
Deuxième exemple, qui reprend aussi le thème du "super
héros" (et donc du courage) déjà repris dans le dessin animé ci-dessus
mais cette fois, dans la réalité. Un enfant se fait manipuler par ses
parents et par le corps médical qui lui remet à la fin un diplôme de
"courage" fabriqué par la firme GSK en lien avec son vaccin Infanrix :
Ce triste saut du "fictionnel" (premier exemple) au concret
(deuxième exemple) peut-être lourd de conséquences. Car il y a là
derrière toute une idéologie, qui ne laisse hélas plus place à la
moindre réflexion. En témoignent toutes ces vidéos les plus violentes,
toute cette démesure scientiste, avec tout ce qu'elle a de tragique et
de désespérant. Regardez donc les infirmières et les médecins s'affairer
comme des robots, en s'entêtant à faire absolument 6 ou même 7
injections à la fois sans RIEN savoir scientifiquement des effets
secondaires synergiques que tous ces cocktails vaccinaux peuvent
engendrer (car bien sûr, plus il y a de vaccins administrés, plus élevés
sont les risques d'effets graves)...
Si les parents (comme tous ceux qui postent fièrement toutes ces
vidéos de ces mauvais traitements sur leurs enfants) n'ont pas le bon
sens suffisant pour voir qu'il y a là vraiment quelque chose qui ne va
pas et qui va bien au-delà de simples pleurs dus à l'effraction cutanée
(piqûre) , il est probable qu'ils ne comprendront sans doute jamais rien
sur le sujet...
« J'appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point
qui n'est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de
nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter
dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la
criminalité. » Nicholas REGUSH, journaliste médical.
Pour Initiative Citoyenne, ce n'est pas juste "friser" la
criminalité. C'est déjà de la criminalité pure. En Belgique, comme en
France, il existe d'ailleurs des lois sur l'abus de faiblesse qui
gagnent à être utilisées dans le cas d'espèce pour les parents qui ont
été trompés car il s'agit véritablement de cela ici.