Et ce phénomène, c’est la suppression lente et inexorable du cash dans nos sociétés. Exemples : en Belgique, par exemple, tout paiement au-delà de 3000 euros ne peut plus se faire en cash et doit passer par virement bancaire. En France, comme toujours, le gouvernement se montre excessif, et l’interdiction porte sur tout paiement supérieur à 1000 euros, autant dire rien !
Par ailleurs, en Europe, le billet de 500 euros a été supprimé par la banque centrale européenne sous prétexte qu’il sert également de couverture au terrorisme. C’est oublier que les terroristes utilisent aussi nos routes et notre éclairage public, et qu’il n’est pas question pour autant de les supprimer. C’est aussi omettre, que l’un des terroristes de Paris a acheté sa Kalachnikov via un organisme de crédit, et donc sans cash.
La suppression du cash est pourtant à la mode dans les discours politiques et la révolution numérique ne fait rien pour arranger les choses puisque les paiements se font et se feront de plus en plus virtuellement, via notre smartphone.

Sans le cash, les citoyens seront à la merci des gouvernements surendettés qui pourront d’un coup de clavier bloquer ou taxer leur épargne.