vendredi 28 avril 2017

Politique & Eco n°130 : une France écartelée avec Hilaire de Crémiers (tvlibertes)

Point de vue

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Au dessus de la mêlée électorale des présidentielles et pour prendre un peu de distance, Olivier Pichon reçoit Hilaire de Crémiers directeur de la publication de Politique Magazine et de la Nouvelle Revue Universelle.




  1. Jamais élection présidentielle fut à ce point abaissée.
  • Scandales : parlons-en !
  • Pour gagner les élections il faut trop d’argent.
  • La République prétendument appuyée sur la vertu (Montesquieu).
  • Politiciens pharisiens !
  • Hollande et les puissances d’argent, Niel Pigasse, Bergé…
  • Le cas Jean-Jacques Augier trésorier de campagne de François Hollande et du même «  club » que Pierre Bergé  possède deux comptes aux iles Caïmans !
  • Hollande merci pour ce moment … d’abaissement !
  • Portrait au vitriol d’un enfant gâté, un adolescent attardé : F. Hollande.
  • L’intelligence devient serve de l’argent, Maurras l’avait dit  dans l’Avenir de l’intelligence au début du XX eme siècle.
  • Nos politiques ne sont pas libres.
  • Mais pour qui donc se prennent les journalistes, payés par les puissances d’argent et les contribuables ?
  • Les affaires de la république, chéquards, Panama, Stavisky, Bonny et Laffon gestapistes, liste non exhaustive.
  • La pitoyable destinée de la promotion Voltaire de l’ENA.
  • L’inculture chronique  des conseillers de tout genre qui peuplent les ministères à nos frais.
  1. La fin d’un régime ?
  • Le bilan désastreux du quinquennat.
  • Hollande euthanasie le socialisme et met la cinquième république à genoux.
  • Réflexions sur la parenthèse gaulliste.
  • De Jules Grévy à François Hollande une continuité d’un siècle dans le marasme républicain.
  • La France s’est constituée autour de son Etat.
  • Une seule question : quel est le pouvoir du roi ? Une souveraineté concrète.
  • Aujourd’hui : une abstraction au service de ceux qui convoitent le pouvoir.
  • Réflexion sur l’origine du septennat.
  • La figure de Jeanne : restaurer la souveraineté avant toutes choses.
  • Notre république monarchique !
  • Que veut le peuple français : une personnalité digne qui protège le territoire et se recentre sur ses fonctions régaliennes.
    Quand les «  périphéries » ne supportent plus les leçons de morale de la classe politique !
  • Restituer aux Français leurs libertés (scolaire, économique).
  • Nous n’avons pas besoin de Hollande du « Monde » et de Joffrain (lui aussi fils de famille) pour penser à notre place !
  • L’hommage rendu à Henri Emmanuelli, la république une idole, une divinité a laquelle on rend un culte !
  • Une absolution républicaines aux turpitudes financières à condition de rendre un culte à la république !
  • Jean Bodin et la RES PUBLICA.

  1. La cinquième république moribonde ?
  • Une loi de la chute quasi immuable, et toujours un militaire !
  • Les politiques se disent tous  antisystème !
  • Peut-on être chef de l’état avec 20 % des voix au premier tour ?
  • Pourquoi les partis politiques ont-ils confisqué la représentation ?
  • Mitterrand et la connaissance de l’histoire, le dernier président disposant d’une grande culture, aucun de ses auteurs préférés n’était socialiste !
  • Les français ne demandent pas à être représentés par des partis mais par leurs intérêts régionaux et professionnels.
  • Pourquoi avoir mis la lutte partisane jusqu’au dernier clocher de France ?
  • Ne pas opposer autorité et liberté, l’autorité régalienne protège la liberté.
  • La France entre en phase d’indifférenciation girardienne, c’est l’aube d’une crise sociale de grande ampleur.
  • Comme conseiller du Prince que faire en premier lieu ?
  • Restaurer la dignité de l’Etat, repenser le système de la représentation, en retirer aux partis le monopole, sortir des féodalités républicaines.
  • Nous allons vers des évènements graves, qui décide de la guerre ?
  • Pouvoir faire confiance au pouvoir, un rêve !
  • Reconstituer l’épargne des français, l’argent n’irrigue plus nos provinces !
  • L’argent des français doit aller aux Français et ne pas s’échapper vers la pseudo mondialisation « heureuse », au seul profit de la banque et de la finance !