vendredi 16 juin 2017

Le piège de la banque centrale: le prix réel de l’argent bon marché….(les moutons enragés)

À surveiller, gare à l’atterrissage. 200 milliards par mois, autant dire qu’avec autant d’argent monopoly injecté en circulation, le jour où le robinet se ferme, ou simplement que les banques centrales relèvent leurs taux d’intérêts et ce sera la Bérézina…


À l’heure actuelle, le rythme d’expansion des principales banques centrales dans le monde dépasse 200 milliards de dollars par mois. En fait, au cours des quatre premiers mois de 2017, les achats d’actifs de la banque centrale ont dépassé la valeur de 1 billion de dollars, selon Bank of America Merrill Lynch. Tout cela, sans crise ni récession.
L’expansion monétaire sans précédent que nous avons observé au cours des huit dernières années est sur la bonne voie pour mettre le bilan de certaines de ces banques centrales de 20% à 100% du PIB de leurs pays d’ici 2018. Des stimulants monétaires massifs et plus de 600 intérêts, Les réductions de taux ont été des moteurs pour soutenir une reprise globale. Mais les risques ne peuvent être sous-estimés.
Un assouplissement extrême a pour objectif de lutter contre le risque de déflation et de soutenir la croissance, mais la liquidité excessive a des conséquences inattendues: faible croissance, mauvaise productivité et faible inflation.
L’argent bon marché et abondant perpétue une surcapacité, qui dépasse 25% dans les principales économies de l’OCDE, en gardant des secteurs hautement endettés et à faible productivité «zombifiés» par un refinancement pérenne de prêts improductifs. L’argent est bon marché, et de nombreux secteurs qui génèrent des rendements bien inférieurs au coût du capital survivent simplement grâce à une dette peu coûteuse, mais les fondamentaux restent faibles. De plus, la faiblesse de la croissance résulte de la combinaison de l’endettement excédentaire, qui s’est élevé à 225% du PIB mondial selon le FMI; Tandis que la consommation, le commerce et la demande intérieure restent décevantes, car le fardeau fiscal est passé à des hauts de tous les temps, selon l’OCDE.
Traduction partielle Volti aidée par Google
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Pour ceux qui s’intéressent à l’économie;
Source Weforum.org