jeudi 26 octobre 2017

La certitude d’une crise immense… voulue par les banquiers (planetes360)

 
« A la différence des années 60-70’, en 2017, les salariés ne sont plus les participants aux gains de productivité. Ce qui compte désormais, c’est l’exploitation de la main-d’œuvre en vue d’une meilleure rentabilité. Et pour cela, la solution choisie a été la délocalisation. C’est alors que le crédit a commencé à se développer. La courbe de l’endettement est subitement montée de manière vertigineuse, et les banquiers internationaux ont, bien évidemment, favorisé ce processus via les banques centrales qu’ils contrôlent. Il leur suffit en effet de nommer les présidents et responsables de commissions tout dévouées à exécuter un cahier des charges, moyennant de larges prébendes, ainsi qu’une retraite dorée avec quelques conférences ici ou là, bien rémunérées par les banques… Vous avez très certainement quelques noms en tête…

La croissance économique ne résulte donc plus d’un pouvoir d’achat convenablement accordé aux salariés pour acquérir les biens industriels, mais du développement du crédit, assurant ainsi aux architectes de la société néolibérale et du mondialisme, la certitude d’une immense crise réduisant tout un pan de population à la misère.
Depuis les années 80’, les oligarchies financières ont pris le contrôle de l’ensemble du processus économique, médiatique, politique et industriel. Les dernières élections présidentielles françaises l’ont illustré. On a ainsi un narcissique pervers, dangereux selon des professionnels de la santé, qui n’hésite pas à insulter les Français sans aucune retenue. Face à ses dérapages verbaux, aucun commentaire des tenants des médias. C’est bien l’illustration d’une forme de totalitarisme. D’ailleurs, à quoi servent les élections nationales sinon à se faire toujours plumer et voir se réduire le pan de libertés restantes ?
Nous vivons avec des experts qui ne s’interrogent même pas sur une évidence : les gouvernements politiques ont massivement augmenté leurs obligations financières, faisant exploser les dettes des nations tout en détruisant les moyens par lesquels ils peuvent les rembourser. C’est bien la preuve que ces dettes ne seront jamais, absolument jamais remboursées !
Et que l’on ne dise pas que c’est la faute à pas de chance, que c’est la roue de l’histoire, etc.. Cela a été voulu, exécuté froidement par des politiciens royalement rémunérés pour leur trahison, leur lâcheté, leur vilenie, leur félonie… Ces gens-là ont trahi leur peuple, leur propre famille, les espoirs de leurs électeurs.
Face au constat terrible que l’on peut faire en regardant le contraste entre pauvres et riches, en voyant le chômage dans les pays du sud de l’Europe et en France, on peut dire avec certitude que l’Union européenne et la banque centrale européenne conduisent les Etats européens vers une banqueroute certaine.
Nous sommes arrivés à un point où ils n’ont plus besoin du politique, d’où la disparition des partis politiques.
Ils n’ont plus aussi vraiment besoin du consommateur puisque leur richesse est devenue totalement virtuelle, avec l’entretien de marchés financiers en bulle permanente ».
LIESI, le 25 octobre 2017