jeudi 5 juillet 2018

Politique & Eco n°177 : les « cygnes noirs » de la finance et de la monnaie (tvlibertes)

Henri Ford : «  Si les gens comprenaient réellement le système financier il y aurait la révolution ».
Olivier Pichon reçoit Simone Wapler rédactrice en chef de la chronique Agora, économiste.
1. L’Italie bien placée pour déclencher un Krach.
– 500 milliards de dettes.
– Les banques italiennes bourrées de créances douteuses.
– L’état Italien émet de la dette.
– L’Allemagne créditrice , l’Italie premier débiteur.
– Si l’Italie était restée sur la Lire elle aurait pu limiter sa dette (comme la Grèce).
– La BCE pour faire durer l’Euro par le QE.
– La deutsche Bank un monstre de produits dérivés : 3 fois le Pib Allemand.
– La cigale et la fourmi ne peuvent pas être solidaires.
– Macron et sa chimère d’un budget commun .
– Faire la charité à crédit ou avec l’argent des autres.
– Extrême fragilité du système, les paramètres de 2008 reconduits en plus grand.
– La dette mondiale 3 fois le PIB mondial.
– Comment suivre la Chronique Agora ?
2. La dette, les taux négatifs, l’Epargne.
– Commencer par le crédit.
– L’argent des banques c’est de la dette.
– Petite histoire du crédit dans l’antiquité.
– Aristote contre Platon sur la monnaie.
– Il n’existe plus de limite à l’endettement.
– La baisse des taux, un remède médiocre
– Les taux négatifs un phénomène inédit.
– Explication : les investisseurs institutionnels préfèrent prêter aux états plutôt qu’aux banques.
– L’impôt comme garantie ?
– Un système malade.
– Le bilan de la BCE comblé par des non résidents : 350 milliards d’euros.
– Provenance des pétro monarchies !
– Les français doivent savoir à qui ils doivent de l’argent.
3. La France dans la crise actuelle.
– Allemagne solidaire.
– La dette réelle de la France.
– Avec Macron les promesses (de baisse de la fiscalité) n’engagent que ceux qui les reçoivent.
– Les privatisations en question.
– La loi pacte, le mythe de l’Etat stratège.
– En quoi une loi peut-elle fabriquer de la croissance ?
– Bruno Lemaire invente le capitalisme du XXI ° Siècle ?
– Le meilleur et le pire de la mondialisation.
– Taleb : «  jouer sa peau » jamais les peuples n’ont été gouvernés par ceux qui ne subissent pas les conséquences de leurs décisions.
– Pour un gouvernement de proximité, une gouvernance mondiale c’est la bureaucratie de Bruxelles en pire parce qu’encore plus gros.
– Auto portrait de S. Wapler.